Copyright © 2000 Neal Crook
Copyright © 2002 Oswald Buddenhagen
Copyright © 2003 Lauri Watts
Ce document décrit le fonctionnement de kdm, le « KDE Display Manager » (« gestionnaire d'environnement graphique de KDE »), plus communément appelé « Gestionnaire de connexion ».
Table des matières
kdm fournit une interface graphique vous permettant de vous connecter au système. Après avoir invité l'utilisateur à saisir son « login » (nom d'utilisateur) et mot de passe, kdm procède à son authentification et, démarre une session. kdm est une alternative à xdm (« X Display Manager »), et lui est supérieur sur de nombreux points.
Ceci est un guide de démarrage rapide pour les utilisateurs qui sont dans le cas suivant :
X est configuré, et fonctionne quand on saisit startx depuis la ligne de commandes.
Chaque utilisateur utilise généralement un seul gestionnaire de fenêtres ou environnement de bureau, et ne change de choix que rarement, ou bien il est rompu à en changer en éditant un simple fichier texte.
Ce scénario conviendra à la plupart des environnements où un unique ou plusieurs utilisateur(s) démarre(nt) l'ordinateur et se connectent en général à leur environnement préféré.
Procédure 2.1. Configurer une session par défaut
Créez ou ouvrez le fichier ~/.xinitrc
Si vous avez déjà un fichier ~/.xinitrc
qui fonctionne, passez à l'étape suivante
Si elle n'est pas déjà présente dans le fichier ~/.xinitrc
, ajoutez une ligne pour démarrer votre gestionnaire de fenêtres ou environnement de bureau préféré.
Pour KDE, vous devez saisir :
startkde
Pour les autres gestionnaires de fenêtres ou environnements de bureau, reportez-vous à leur documentation pour connaître la commande adéquate.
Créez un lien comme suit :
ln -s
~/.xinitrc ~/.xsession
À cette étape, saisir startx
en ligne de commande devrait démarrer X, avec une session KDE. La prochaine tâche est d'essayer kdm.
En tant que root
, saisissez kdm
à l'invite de commandes.
Vous devriez voir une fenêtre de connexion, qui est décrite plus en détail dans Chapitre 3, La Fenêtre de connexion.
Si vous saisissez maintenant votre nom d'utilisateur et votre mot de passe dans les zones de saisie réservées, et que vous laissez Par défaut
comme type de session, une session KDE devrait démarrer pour votre utilisateur.
Si vous avez d'autres comptes d'utilisateurs à configurer, vous devrez répéter la procédure précédente pour chacun d'eux.
Ceci est un guide succinct qui a pour seul but de faire fonctionner kdm. Vous voudrez probablement le personnaliser, par exemple en masquant les utilisateurs système, en autorisant des sessions supplémentaires et bien d'autres choses encore. Vous trouverez tous les détails pour réaliser ces choses dans la suite de ce manuel.
L'interface de kdm nous présente deux boîtes de dialogue. La composition de la boîte de dialogue principale est la suivante :
une zone de saisie Utilisateur : où vous pourrez saisir votre nom d'utilisateur ;
une zone de saisie Mot de passe : où vous pourrez saisir votre mot de passe ;
(en option) une icône représentant chaque utilisateur (par exemple, une photo numérisée). Cliquer sur une icône revient à saisir le nom de l'utilisateur associé dans la zone de saisie Utilisateur : (cette fonctionnalité imite la boîte de connexion de IRIX®) ;
une liste déroulante Menu permettant à kdm d'être utilisé pour démarrer des sessions avec différents et variés gestionnaires de fenêtres ou environnements de bureau installés sur le système ;
(en option) à droite des champs Utilisateur :, Mot de passe : et Type de session :, une zone dans laquelle il est possible d'afficher soit une image fixe, soit une horloge analogique ;
un bouton qui valide la combinaison utilisateur / mot de passe et tente de démarrer une session du type sélectionné.
un bouton dont l'usage vide les zones Utilisateur : et Mot de passe : de leur contenu ;
un bouton qui ouvre un menu avec les options suivantes :
(sur les sessions locales) un élément , qui termine le X-Server courant, en démarre un autre et affiche à nouveau la fenêtre de connexion. Vous pouvez utiliser ceci si l'affichage semble ne pas fonctionner correctement ;
(sur les sessions distantes) un bouton qui clôt la connexion au serveur XDMCP auquel vous êtes actuellement connecté(e). Si vous êtes connecté(e) à ce serveur via un sélecteur d'hôte, vous serez ramené(e) à ce sélecteur d'hôte, sinon le X-Server sera redémarré et vous serez ramené(e) à la fenêtre de connexion ;
(en option sur les sessions locales) un bouton qui éteint le X-Server et qui vous laisse avec un terminal. kdm restaurera la connexion graphique si personne ne se connecte à la console au bout d'un certain temps.
(en option) un bouton permettant d'afficher la boîte de dialogue Arrêter ;
La boîte de dialogue Arrêter... presente des boutons « radio » permettant de sélectionner l'une des options suivantes :
Arrête le système en respectant la procédure nécessaire à la mise hors tension de l'ordinateur.
Arrête le système, puis le redémarre dans le foulée. Pour les systèmes utilisant Lilo, une liste déroulante supplémentaire vous permet de choisir l'image du noyau (kernel) à utiliser lors du redémarrage.
Arrête puis redémarre le serveur X. La plupart du temps, on utilise cette fonction après avoir changé la configuration de X11.
Arrête le X-Server et bascule le système en mode console. Ceci est réalisé en ramenant le système au niveau d'exécution (runlevel) 3. L'administrateur du système peut utiliser cette option avant de mettre à jour ou reconfigurer le système X11.
Vous pouvez ensuite cliquer sur pour valider votre choix ou , ce qui vous renvoie à la boîte de dialogue principale de kdm.
Dans ce chapitre, nous supposons que kdm fonctionne déjà correctement sur votre système et que vous souhaitez simplement changer son apparence et son comportement.
Quand kdm démarre, il lit sa configuration dans le dossier $KDEDIR/share/config/kdm/
(ce peut être /etc/kde3/kdm/
ou quelque chose d'autre sur votre système).
Le fichier de configuration principal est kdmrc
; tous les autres fichiers sont référencés à partir de là et peuvent être stockés sous n'importe quel nom n'importe où sur votre système - mais ça n'a habituellement pas beaucoup de sens pour des raisons évidentes (une exception particulière est le référencement de fichiers de configuration d'un xdm déjà installé - cependant, quand un nouveau kdm est installé, il importera les réglages de ces fichiers s'il trouve un xdm installé).
Comme kdm doit fonctionner avant qu'un utilisateur ne soit connecté, il n'est pas associé à un utilisateur particulier. Il n'est donc pas possible d'avoir des fichiers spécifiques à l'utilisateur. Une des conséquences à ceci est que tous les utilisateurs partagent le kdmrc
commun. Il en résulte que la configuration de kdm ne peut être modifiée que par un utilisateur ayant les droits d'accès et d'écriture sur le fichier $
(c'est-à-dire l'administrateur système, connecté en tant que KDEDIR
/share/config/kdmrcroot
).
Vous pouvez voir le fichier kdmrc
actuellement utilisé sur votre système, et vous pouvez configurer kdm en modifiant ce fichier. Il est aussi possible d'utiliser l'utilitaire de configuration graphique disponible dans le Centre de configuration de KDE (->), dont vous trouverez la description dans les fichiers d'aide du Centre de configuration de KDE.
Le reste de ce chapitre décrit la configuration de kdm via le module du Centre de configuration de KDE, et le prochain chapitre décrit les options disponibles dans kdmrc
lui-même. Le module du Centre de configuration de KDE devrait suffire à vos besoins si vous ne voulez effectuer la configuration que pour des utilisateurs locaux. Si vous avez besoin de configurer des connexions à distance ou d'avoir plusieurs sessions kdm en cours, vous aurez besoin de continuer la lecture.
En utilisant ce module, vous pouvez configurer le gestionnaire de connexion graphique de KDE, kdm. Vous pouvez changer à quoi ressemble l'écran de connexion, qui a accès en utilisant le gestionnaire de connexion et qui peut éteindre l'ordinateur.
Tous les réglages seront écrits dans le fichier de configuration kdmrc
, qui, dans son état original, contient de nombreux commentaires pour vous aider à configurer kdm. En utilisant ce module du Centre de configuration de KDE, ces commentaires seront effacés du fichier. Toutes les options disponibles dans kdmrc
sont explicitées dans Chapitre 5, Les fichiers de configuration de kdm.
Les options listées dans ce chapitre sont des références croisées avec leurs équivalents dans kdmrc
. Toutes les options disponibles dans le module du Centre de configuration de KDE sont aussi disponibles directement dans kdmrc
, mais l'inverse n'est pas vrai.
Dans le but d'organiser toutes ces options, ce module est divisé en plusieurs sections : Apparence, Polices, Fond d'écran, Arrêt, Utilisateurs et Commodités.
Vous pouvez passer d'une section à l'autre en utilisant les onglets en haut de la fenêtre.
Si vous n'êtes actuellement pas connecté(e) en tant que superutilisateur(trice), vous devrez cliquer sur le bouton . On vous demandera alors un mot de passe de superutilisateur. Saisir un mot de passe correct vous permettra de modifier les réglages de ce module.
À partir de cette page, vous pouvez changer l'apparence visuelle de kdm, le gestionnaire de connexion graphique de KDE.
La phrase de Bienvenue : est le titre de l'écran de connexion. Régler ceci est particulièrement utile si vous avez beaucoup de serveurs auxquels les utilisateurs peuvent se connecter. Vous pouvez utiliser plusieurs variables de remplacement, qui sont décrites au même endroit que la clé correspondante (GreetString
) dans kdmrc
.
Vous pouvez alors choisir d'afficher soit l'heure courante du système, soit un logo, soit rien de spécial dans la boîte de connexion. Faites votre choix avec les boutons radio libellés Zone de logo :. Ceci correspond à LogoArea
dans kdmrc
Si vous choisissez Afficher le logo, vous pouvez maintenant choisir un logo :
Déposez un fichier d'image sur le bouton d'image.
Cliquez sur le bouton d'image et sélectionnez une nouvelle image dans la boîte de dialogue de sélection d'image.
Si vous ne spécifiez pas de logo, $
sera affiché par défaut.KDEDIR
/share/apps/kdm/pics/kdelogo.xpm
Normalement, la fenêtre de connexion est centrée sur l'écran. Utilisez les options Position : si vous voulez qu'elle apparaisse ailleurs sur l'écran. Vous pouvez spécifier la position relative (en pourcentage de taille d'écran) pour le centre de la fenêtre de connexion, par rapport au coin en haut à gauche de l'écran, dans les champs libellés X : et Y : respectivement. Ils correspondent à la clé GreeterPos
dans kdmrc
.
Alors que le style de KDE dépend des réglages de l'utilisateur connecté, le style utilisé par kdm peut être configuré en utilisant les options Style des éléments graphiques : et Modèle de couleur :. Elles correspondent respectivement aux clés GUIStyle
et ColorScheme
dans kdmrc
.
Au-dessous de ceci, vous avez une liste déroulante pour choisir la langue de votre fenêtre de connexion, ce qui correspond au réglage Language
dans kdmrc
.
À partir de cette section du module, vous pouvez changer les polices utilisées dans la fenêtre de connexion. Seules les polices disponibles pour tous les utilisateurs sont présentes ici, pas celles que vous avez installées en tant qu'utilisateur.
Vous pouvez sélectionner trois styles de polices différents dans la liste déroulante (Général :, Erreurs : et Bienvenue :). Lorsque vous cliquez sur le bouton , une boîte de dialogue apparaît, dans laquelle vous pouvez sélectionner les nouvelles caractéristiques pour le style de police.
La police de Général : est utilisée dans tous les autres endroits dans la fenêtre de connexion.
La police de Erreurs : est utilisée quand une connexion échoue.
La police de Bienvenue : est la police utilisée pour le titre (message d'accueil).
Vous pouvez également cocher la case Lisser les polices de caractères si vous désirez des polices lissées dans la fenêtre d'authentification.
Ici, vous pouvez changer le fond de bureau qui sera affiché avant qu'un utilisateur se connecte. Vous pouvez avoir une simple couleur ou une image comme fond. Si vous avez une image comme fond et que vous sélectionnez centré, la couleur de fond sélectionnée sera utilisée autour de l'image si celle-ci n'est pas assez grande pour couvrir le bureau entier.
Les couleurs de fond et les effets sont contrôlés par les options sur l'onglet libellé Fond d'écran et vous sélectionnez une image de fond et son placement à partir des options sur la zone libellée Fond-d'écran
Pour changer la couleur de fond par défaut, cliquez simplement sur un des boutons de couleurs et sélectionnez une nouvelle couleur.
La liste déroulante au-dessus des boutons de couleurs vous fournit plusieurs effets de mélanges de couleurs différents. Choisissez-en un dans la liste et il sera montré en aperçu sur le petit moniteur eu haut de la fenêtre. Vos choix sont :
En choisissant ce mode, vous sélectionnez une couleur (en utilisant le bouton de couleurs libellé ), et le fond entier sera couvert de cette seule couleur.
En choisissant ce mode, vous sélectionnez deux couleurs (en utilisant les deux boutons de couleurs).
Vous pouvez alors sélectionner un motif en cliquant sur Configuration. Ceci ouvre une nouvelle fenêtre de dialogue, qui vous donne la possibilité de sélectionner un motif. Cliquez simplement une fois sur le motif de votre choix, puis cliquez sur OK, et KDE effectuera un rendu sur le motif que vous avez sélectionné en utilisant les deux couleurs que vous avez sélectionnées. Pour plus d'information sur les motifs, voyez la section Ajout, suppression et modifications de papiers peints et de motifs.
En sélectionnant cette option, vous pouvez faire en sorte que KDE utilise un programme externe pour déterminer le fond. Ceci peut être n'importe quel programme de votre choix. Pour plus d'informations sur cette option, voyez la section intitulée Fond : utilisation d'un programme externe.
En choisissant ce mode, vous sélectionnez deux couleurs (en utilisant les deux boutons de couleurs). KDE démarrera alors sur le côté gauche de l'écran avec la couleur sélectionnée par Couleur 1, et la transformera progressivement en la couleur sélectionnée par Couleur 2 en allant vers le côté droit de l'écran.
En choisissant ce mode, vous sélectionnez deux couleurs (en utilisant les deux boutons de couleurs). KDE démarrera alors en haut de l'écran avec la couleur sélectionnée par Couleur 1, et la transformera progressivement en la couleur sélectionnée par Couleur 2 en allant vers le bas de l'écran.
En choisissant ce mode, vous sélectionnez deux couleurs (en utilisant les deux boutons de couleurs). KDE démarrera alors aux quatre coins de l'écran avec la couleur sélectionnée par Couleur 1, et la transformera progressivement en la couleur sélectionnée par Couleur 2 en allant vers le centre de l'écran.
En choisissant ce mode, vous sélectionnez deux couleurs (en utilisant les deux boutons de couleurs). KDE démarrera alors aux quatre coins de l'écran avec la couleur sélectionnée par Couleur 1, et la transformera progressivement en la couleur sélectionnée par Couleur 2 en allant vers le centre de l'écran. La « forme » de ce dégradé est différente du dégradé en pyramide.
En choisissant ce mode, vous sélectionnez deux couleurs (en utilisant les deux boutons de couleurs). KDE démarrera alors au centre de l'écran avec la couleur sélectionnée par Couleur 1, et la transformera progressivement en la couleur sélectionnée par Couleur 2 en allant vers les bords de l'écran, en dessinant un motif elliptique.
Le bouton de configuration n'est nécessaire que si vous sélectionnez Programme de fond d'écran ou Motifs. Dans ces cas, une autre fenêtre apparaîtra pour configurer ce qui est spécifique.
Papier peint
Pour sélectionner une nouvelle image de fond, cliquez d'abord sur l'onglet Fond d'écran, puis vous pourrez soit sélectionner une image dans la liste déroulante libellée Image :, soit sélectionner et choisir une image via un sélecteur de fichiers.
L'image peut être affichée selon six manières différentes :
Aucune image n'est affichée. Simplement les couleurs du fond.
L'image sera centrée sur l'écran. Les couleurs du fond seront présentes partout où l'image ne recouvre pas le fond.
L'image sera dupliquée jusqu'à ce qu'elle remplisse le bureau en entier. La première image sera placée dans le coin supérieur gauche de l'écran, et dupliquée vers le bas et la droite.
L'image sera dupliquée jusqu'à ce quelle remplisse le bureau en entier. La première image sera placée au centre de l'écran, et dupliquée vers le haut, le bas, la droite et la gauche.
L'image sera placée au centre de l'écran. Elle sera redimensionnée pour s'adapter au bureau, mais en respectant les proportions de l'image originale. Ceci vous donnera une image non déformée.
L'image sera étirée pour s'adapter au bureau. Elle sera étirée pour atteindre les quatre coins.
Autoriser l'arrêt du système
Utilisez cette liste déroulante pour choisir qui est autorisé à arrêter le système :
Personne : personne ne peut arrêter l'ordinateur en utilisant kdm. Vous devez être connecté et exécuter une commande.
Tout le monde : chacun peut éteindre l'ordinateur en utilisant kdm.
Uniquement le superutilisateur : kdm nécessite que le mot de passe root
soit donné avant d'éteindre l'ordinateur.
Vous pouvez configurer indépendamment qui est autorisé à effectuer une commande d'extinction pour les utilisateurs locaux (Local :) et distants (Distant :).
Commandes
Utilisez ces champs de texte pour définir la commande d'extinction exacte.
La commande Arrêt : par défaut est /sbin/halt. La commande Redémarrage :par défaut est /sbin/reboot.
Quand Afficher les options de démarrage est activé, kdm vous offrira des options de redémarrage pour le gestionnaire de démarrage LILO. Pour que cette fonctionnalité fonctionne, vous devez donner les chemins corrects vers votre commande lilo et vers son fichier de configuration. Notez que cette option n'est pas disponible sur tous les systèmes.
À partir d'ici, vous pouvez changer la manière dont les utilisateurs sont représentés dans la fenêtre de connexion.
Vous pouvez entièrement désactiver la liste des utilisateurs dans kdm dans la section Utilisateurs. Vous pouvez choisir parmi :
Ne montre que les utilisateurs que vous avez spécifiquement activés dans la liste à coté
Si vous ne cochez pas cette case, aucune liste ne sera affichée. C'est le réglage le plus sûr, car un attaquant doit alors deviner un nom de connexion (« login ») valable ainsi qu'un mot de passe. C'est aussi l'option préférée si vous avez un certain nombre d'utilisateurs à lister, sinon la liste devient difficile à manier.
Vous permet de sélectionner une liste d'utilisateurs qui ne doivent pas être montrés, contrairement aux autres qui seront listés.
Indépendamment des utilisateurs que vous pouvez spécifier par nom, vous pouvez utiliser les UID du système pour spécifier une plage d'UIDs valables à afficher dans la liste. Par défaut, les IDs des utilisateurs inférieurs à 1000, qui sont souvent des utilisateurs système ou de démons, et ceux supérieurs à 65 000 ne sont pas affichés.
Vous pouvez aussi cocher la case Trier les utilisateurs pour que la liste des utilisateurs soit triée par ordre alphabétique. Si ceci est désactivé, les utilisateurs apparaîtront dans l'ordre où ils sont listés dans le fichier des mots de passe. De plus, kdm effectuera le complètement automatique des noms d'utilisateur si vous activez l'option Complètement automatique.
Si vous choisissez de montrer les utilisateurs, la fenêtre de connexion affichera des images (que vous choisissez) d'une liste d'utilisateurs. Quand quelqu'un est prêt à se connecter, il peut sélectionner son nom ou image d'utilisateur, puis saisir son mot de passe pour que l'accès soit accordé.
Si vous permettez une image d'utilisateur, vous pouvez configurer la source pour ces images.
Vous pouvez configurer l'image d'administration pour chaque utilisateur du système. En fonction de l'ordre sélectionné plus haut, les utilisateurs peuvent ou non supplanter votre sélection.
Si vous choisissez de ne pas montrer les utilisateurs, la fenêtre de connexion sera plus traditionnelle. Les utilisateurs devront écrire leur nom d'utilisateur et leur mot de passe pour pouvoir se connecter. C'est la meilleure manière si vous avez beaucoup d'utilisateurs sur ce terminal.
Dans l'onglet Commodités, vous pouvez configurer certaines options qui rendent la vie plus facile pour les gens paresseux, comme la connexion automatique ou la désactivation des mots de passe.
Veuillez réfléchir à deux fois avant d'utiliser ces options. Chaque option dans l'onglet Commodités peut sérieusement compromettre la sécurité de votre système. En pratique, ces options ne doivent être utilisées que dans un environnement complètement non critique, par exemple un ordinateur personnel à la maison.
La connexion automatique donnera à quiconque l'accès à un certain compte sur votre système sans qu'aucune authentification ne soit demandée. Vous pouvez l'activer en utilisant l'option Activer la connexion automatique.
Vous pouvez choisir le compte à utiliser pour la connexion automatique dans la liste libellée Utilisateur :.
En utilisant cette fonction, vous pouvez permettre a certains utilisateurs de se connecter sans avoir à fournir leur mot de passe. Activez cette fonction en utilisant l'option Activer les connexions sans mot de passe.
Sous cette option, vous verrez une liste d'utilisateurs sur le système. Activez la connexion sans mot de passe pour des utilisateurs spécifiques en cochant la case à côté des noms de connexion. Par défaut, cette fonctionnalité est désactivée pour tous les utilisateurs.
Une fois de plus, cette option ne devrait être utilisée que dans un environnement sûr. Si vous l'activez sur un système plutôt public, vous devriez prendre garde que seuls les utilisateurs avec de grosses restrictions d'accès puissent se connecter sans mot de passe, par exemple invité
.
Vous pouvez aussi choisir quel utilisateur est « présélectionné » quand kdm démarre. La valeur par défaut est Aucun, mais vous pouvez choisir Le dernier connecté pour que kdm utilise par défaut le dernier utilisateur connecté avec succès, ou vous pouvez spécifier Un utilisateur particulier qui sera toujours sélectionné dans la liste. Vous pouvez aussi faire en sorte que kdm mette le focus sur le champ de mot de passe, de telle manière que quand vous atteignez l'écran de connexion de kdm, vous pouvez saisir le mot de passe immédiatement.
L'option Rétablir la connexion automatiquement après un plantage du serveur X vous permet de sauter la procédure d'authentification si votre serveur X s'arrêtait anormalement.
Ce chapitre documente les fichiers qui contrôlent les fonctionnalités de kdm. Certaines de ces fonctionnalités peuvent également être définies depuis le module KControl.
Le format basique du fichier est de type « INI ».
Les lignes commençant par un #
sont des commentaires; les lignes vides sont simplement ignorées.
Les sections sont dénotées par [
Nom de la Section
]
.
Vous pouvez configurer chaque affichage X individuellement.
Chaque affichage a un nom, qui consiste en un nom d'hôte (qui est vide pour les affichages locaux spécifiés dans StaticServers
ou ReserveServers
), un caractère « : » et un numéro d'affichage. De plus, un affichage appartient à une classe d'affichage (qui peut être ignorée dans la plupart des cas).
Les sections avec des paramètres spécifiques à un affichage ont la syntaxe formelle [X-
host
[ :
number
[ _
class
] ] -
sub-section
]
Toutes les sections avec le même sub-section
constituent une classe de section.
Vous pouvez utiliser le caractère joker *
(n'importe quelle correspondance) pour host
, number
et class
. Vous pouvez omettre des choses en fin de ligne, elles seront alors considérées comme étant « * ». La partie concernant l'hôte peut être une spécification de domaine comme .inf.tu-dresden.de
ou le caractère joker +
(correspondance pour ce qui est non-vide).
La section depuis laquelle la configuration est extraite est déterminée par ces règles :
Une correspondance exacte est prioritaire sur une correspondance partielle (pour la partie hôte), qui à son tour est prioritaire sur un caractère joker (+
est prioritaire sur *
).
La priorité décroît de gauche à droite pour des correspondances exactes identiques.
Exemple : le nom d'affichage « myhost.foo:0 », classe « dpy »
[X-myhost.foo:0_dpy] est prioritaire sur
[X-myhost.foo:0_*] (identique à [X-myhost.foo:0]) est prioritaire sur
[X-myhost.foo:*_dpy] est prioritaire sur
[X-myhost.foo:*_*] (identique à [X-myhost.foo]) est prioritaire sur
[X-.foo:*_*] (identique à [X-.foo]) est prioritaire sur
[X-+:0_dpy] est prioritaire sur
[X-*:0_dpy] est prioritaire sur
[X-*:0_*] (identique à [X-*:0]) est prioritaire sur
[X-*:*_*] (identique à [X-*]).
Ces sections ne correspondent pas à cet affichage :
[X-hishost], [X-myhost.foo:0_dec], [X-*:1], [X-:*]
Les sections communes sont [X-*] (tous les affichages), [X-:*] (tous les affichages locaux) et [X-:0] (le premier affichage local).
Le format pour toutes les clés est
. Les clés ne sont valides que dans la classe de section pour laquelle elles ont été définies. Certaines clés ne s'apliquent pas à certains affichages, auquel cas elles sont ignorées. clé
=
valeur
Si un réglage n'est trouvé dans aucune section, la valeur par défaut est utilisée.
Les caractères spéciaux doivent être échappés par le caractère « antislash » (espaces de début et de fin(\s
), tabulation (\t
), fin de ligne (\n
), retour chariot (\r
) et le caractère « antislash » lui-même (\\
)).
Dans les listes, les champs sont séparés par des virgules et n'ont pas d'espace entre eux.
Some command strings are subject to simplified sh-style word splitting: single quotes ('
) and double quotes ("
) have the usual meaning; the backslash quotes everything (not only special characters). Note that the backslashes need to be doubled because of the two levels of quoting.
Un fichier kdmrc
primitif est commenté en détail. Tous les commentaires seront perdus si vous modifiez ce fichier via l'interface kcontrol.
Cette section contient les options globales qui n'ont leur place dans aucune section specifique.
ConfigVersion
Cette option existe uniquement pour faire des mises à jour automatiques propres. ne la modifiez pas, vous pourriez interférer avec de futures mises à jour et kdm pourrait ne plus fonctionner.
StaticServers
List of displays (X-Servers) permanently managed by kdm. Displays with a hostname are foreign displays which are expected to be already running, the others are local displays for which kdm starts an own X-Server; see ServerCmd
. Each display may belong to a display class; append it to the display name separated by an underscore. See la section intitulée « Spécifier des X-Servers permanents » for the details.
La valeur par défaut est « :0 ».
ReserveServers
Liste des affichages à la demande. Voir StaticServers
pour la syntaxe.
Vide par défaut.
ServerVTs
List of Virtual Terminals to allocate to X-Servers. For negative numbers the absolute value is used, and the VT will be allocated only if the kernel says it is free. If kdm exhausts this list, it will allocate free VTs greater than the absolute value of the last entry in this list. Currently Linux only.
Vide par défaut.
ConsoleTTYs
This option is for operating systems (OSs) with support for virtual terminals (VTs), by both kdm and the OSs itself. Currently this applies only to Linux.
Lorsque kdm bascule en mode console, il commence à surveiller toutes les lignes TTY listées ici (sans /dev/
au début). Si aucune d'elle n'est active pendant un certain temps, kdm bascule à nouveau vers le login X.
Vide par défaut.
PidFile
The nom de fichier spécifié sera créé pour contenir une représentation ASCII de l'identifiant de processus du processus kdm principal ; le PID ne sera pas mémorisé sir le nom de fichier est vide.
Vide par défaut.
LockPidFile
Cette option contrôle si kdm utilise le verrouillage par fichier pour éviter que de multiples gestionnaires d'affichage soient lancés les uns sur les autres.
La valeur par défaut est « true ».
AuthDir
Ceci nomme un répertoire dans lequel kdm stocke des fichiers d'autorisation pour X-Server lorsqu'il initialise la session. kdm s'attend à ce que le système supprime les fichiers périmés de ce répertoire au redémarrage.
Le fichier d'autorisation à utiliser pour un affichage particulier peut être spécifié avec l'option AuthFile
dans [X-*-Core].
La valeur par défaut est « /var/run/xauth ».
AutoRescan
Cette valeur booléenne contrôle si kdm relit automatiquement ses fichiers de configuration s'il constate qu'ils ont changé.
La valeur par défaut est « true ».
ExportList
Additional environment variables kdm should pass on to all programs it runs. LD_LIBRARY_PATH
and XCURSOR_THEME
are good candidates; otherwise, it should not be necessary very often.
Vide par défaut.
RandomFile
If the system has no native entropy source like /dev/urandom (see RandomDevice
) and no entropy daemon like EGD (see PrngdSocket
and PrngdPort
) is running, kdm will fall back to its own pseudo-random number generator that will, among other things, successively checksum parts of this file (which, obviously, should change frequently).
Cette option n'existe pas sur Linux et divers BSDs.
La valeur par défaut est « /dev/mem ».
PrngdSocket
If the system has no native entropy source like /dev/urandom (see RandomDevice
), read random data from a Pseudo-Random Number Generator Daemon, like EGD (http://egd.sourceforge.net) via this UNIX domain socket.
Cette option n'existe pas sur Linux et divers BSDs.
Vide par défaut.
PrngdPort
Identique à PrngdSocket
, n'utilise qu'une socket TCP sur localhost.
RandomDevice
The path to a character device which kdm should read random data from. Empty means to use the system's preferred entropy device if there is one.
Cette option n'existe pas sur OpenBSD, qui utilise la fonction arc4_random à la place.
Vide par défaut.
FifoDir
Le répertoire dans lequel les FiFos de commande doivent être créés ; ne pas mettre de valeur pour les désativer.
La valeur par défaut est « /var/run/xdmctl ».
FifoGroup
Le groupe auquel la FiFo de commande globale doit appartenir ; peut être un nom ou un identifiant numérique.
DataDir
The directory in which kdm should store persistent working data; such data is, for example, the previous user that logged in on a particular display.
La valeur par défaut est « /var/lib/kdm ».
DmrcDir
The directory in which kdm should store users' .dmrc
files. This is only needed if the home directories are not readable before actually logging in (like with AFS).
Vide par défaut.
Cette section contient des options qui contrôlent comment kdm gère des requêtes XDMCP.
Enable
Si kdm doit écouter les requêtes XDMCP entrantes.
La valeur par défaut est « true ».
Port
This indicates the UDP port number which kdm uses to listen for incoming XDMCP requests. Unless you need to debug the system, leave this with its default value.
La valeur par défaut est « 177 ».
KeyFile
XDM-AUTHENTICATION-1 style XDMCP authentication requires a private key to be shared between kdm and the terminal. This option specifies the file containing those values. Each entry in the file consists of a display name and the shared key.
Vide par défaut.
Xaccess
To prevent unauthorized XDMCP service and to allow forwarding of XDMCP IndirectQuery requests, this file contains a database of hostnames which are either allowed direct access to this machine, or have a list of hosts to which queries should be forwarded to. The format of this file is described in la section intitulée « Contrôle d'accès de XDMCP ».
La valeur par défaut est « ${kde_confdir
}/kdm/Xaccess ».
ChoiceTimeout
Number of seconds to wait for the display to respond after the user has selected a host from the chooser. If the display sends an XDMCP IndirectQuery within this time, the request is forwarded to the chosen host; otherwise, it is assumed to be from a new session and the chooser is offered again.
La valeur par défaut est « 15 ».
RemoveDomainname
When computing the display name for XDMCP clients, the name resolver will typically create a fully qualified host name for the terminal. As this is sometimes confusing, kdm will remove the domain name portion of the host name if it is the same as the domain name of the local host when this option is enabled.
La valeur par défaut est « true ».
SourceAddress
Utiliser l'adresse IP de la connexion entrante au lieu du nom d'hôte. Utilisez cette option sur les hôtes possédant plusieurs interfaces réseau (multihomed). Ceci permet d'éviter de se connecter à la mauvaise interface qui peut ne pas être active à cet instant.
La valeur par défaut est « false ».
Willing
This specifies a program which is run (as root
) when an XDMCP DirectQuery or BroadcastQuery is received and this host is configured to offer XDMCP display management. The output of this program may be displayed in a chooser window. If no program is specified, the string « Willing to manage » is sent.
Vide par défaut.
Cette section contient des options globales concernant l'arrêt du système.
HaltCmd
La commande (sujette à être découpée en mots) à lancer pour stopper/éteindre électriquement le système.
La valeur par défaut est quelque chose qui convenait sur le système sur lequel kdm a été compilé, comme par exemple /sbin/shutdown -h
now
.
RebootCmd
La commande (sujette à être découpée en mots) à lancer pour redémarrer le système.
La valeur par défaut est quelque chose qui convenait sur le système sur lequel kdm a été compilé, comme par exemple /sbin/shutdown -r
now
.
AllowFifo
Si on peut ou non arrêter le système avec la FiFo de commande globale.
La valeur par défaut est « false ».
AllowFifoNow
Si on peut ou non annuler des sessions en cours d'exécution lorsqu'on arrête le système via la FiFo de commande globale.
Ceci n'aura aucun effet à moins que AllowFifo
soit activé.
La valeur par défaut est « true ».
BootManager
Le gestionnaire de démarrage que kdm doit utiliser pour proposer des options de démarrage dans la boîte de dialogue d'arrêt.
None
aucun gestionnaire de démarrage
Grub
Le gestionnaire de démarrage GRUB
Lilo
Le gestionnaire de démarrage LILO (uniquement Linux sur i386 & x86-64)
La valeur par défaut est « None ».
This section class contains options concerning the configuration of the kdm backend (core).
OpenDelay
Voir OpenRepeat
.
La valeur par défaut est « 15 ».
OpenTimeout
Voir OpenRepeat
.
La valeur par défaut est « 120 ».
OpenRepeat
These options control the behavior of kdm when attempting to open a connection to an X-Server. OpenDelay
is the length of the pause (in seconds) between successive attempts, OpenRepeat
is the number of attempts to make and OpenTimeout
is the amount of time to spend on a connection attempt. After OpenRepeat
attempts have been made, or if OpenTimeout
seconds elapse in any particular connection attempt, the start attempt is considered failed.
La valeur par défaut est « 5 ».
StartAttempts
How many times kdm should attempt to start a foreign
display listed in StaticServers
before giving up and disabling it. Local displays are attempted only once, and XDMCP displays are retried indefinitely by the client (unless the option -once
was given to the X-Server).
La valeur par défaut est « 4 ».
ServerAttempts
Le nombre de fois que kdm doit tenter de démarrer un X-Server local. Ceci inclut l'exécution en elle-même, et l'attente pour qu'il démarre effectivement.
La valeur par défaut est « 1 ».
ServerTimeout
Le nombre de secondes que kdm doit attendre pour le démarrage d'un X-Server local.
La valeur par défaut est « 15 ».
ServerCmd
Cette ligne de commande démarre le X-Server, sans numéro d'affichage et sans spécification de VT. Cette chaîne est sujette à être découpée en mots.
La valeur par défaut est quelque chose qui convenait sur le système sur lequel kdm a été compilé, comme par exemple /usr/X11R6/bin/X.
ServerArgsLocal
Arguments additionnels pour les X-Servers pour les sessions locales. Cette chaîne est sujette à être découpée en mots.
Vide par défaut.
ServerArgsRemote
Arguments additionnels pour les X-Servers pour les sessions distantes. Cette chaîne est sujette à être découpée en mots.
Vide par défaut.
ServerVT
The VT the X-Server should run on. ServerVTs
should be used instead of this option. Leave it zero to let kdm assign a VT automatically. Set it to -1
to avoid assigning a VT alltogether - this is required for setups with multiple physical consoles. Currently Linux only.
ServerTTY
This option is for OSs without support for VTs, either by kdm or the OS itself. Currently this applies to all OSs but Linux.
When kdm switches to console mode, it starts monitoring this TTY line (specified without the leading /dev/
) for activity. If the line is not used for some time, kdm switches back to the X login.
Vide par défaut.
PingInterval
Voir PingTimeout
.
La valeur par défaut est « 5 ».
PingTimeout
To discover when remote displays disappear, kdm regularly pings them. PingInterval
specifies the time (in minutes) between the pings and PingTimeout
specifies the maximum amount of time (in minutes) to wait for the terminal to respond to the request. If the terminal does not respond, the session is declared dead and terminated.
If you frequently use X terminals which can become isolated from the managing host, you may wish to increase the timeout. The only worry is that sessions will continue to exist after the terminal has been accidentally disabled.
La valeur par défaut est « 5 ».
TerminateServer
Whether kdm should restart the local X-Server after session exit instead of resetting it. Use this if the X-Server leaks memory or crashes the system on reset attempts.
La valeur par défaut est « false ».
ResetSignal
Le numéro de signal à utiliser pour réinitialiser le X-Server local.
La valeur par défaut est « 1 (SIGHUP) ».
TermSignal
Le numéro de signal à utiliser pour terminer le X-Server local.
La valeur par défaut est « 15 (SIGTERM) ».
Authorize
Controls whether kdm generates and uses authorization for local X-Server connections. For XDMCP displays the authorization requested by the display is used; foreign non-XDMCP displays do not support authorization at all.
La valeur par défaut est « true ».
AuthNames
If Authorize
is true, use the authorization mechanisms listed herein. The MIT-MAGIC-COOKIE-1 authorization is always available; XDM-AUTHORIZATION-1, SUN-DES-1 and MIT-KERBEROS-5 might be available as well, depending on the build configuration.
La valeur par défaut est « DEF_AUTH_NAME ».
ResetForAuth
Some old X-Servers re-read the authorization file at X-Server reset time, instead of when checking the initial connection. As kdm generates the authorization information just before connecting to the display, an old X-Server would not get up-to-date authorization information. This option causes kdm to send SIGHUP to the X-Server after setting up the file, causing an additional X-Server reset to occur, during which time the new authorization information will be read.
La valeur par défaut est « false ».
AuthFile
This file is used to communicate the authorization data from kdm to the X-Server, using the -auth
X-Server command line option. It should be kept in a directory which is not world-writable as it could easily be removed, disabling the authorization mechanism in the X-Server. If not specified, a random name is generated from AuthDir
and the name of the display.
Vide par défaut.
Resources
This option specifies the name of the file to be loaded by xrdb as the resource database onto the root window of screen 0 of the display. KDE programs generally do not use X-resources, so this option is only needed if the Setup
program needs some X-resources.
Vide par défaut.
Xrdb
Le programme xrdb à utiliser pour lire le fichier des ressources X spécifié dans Recources
. La commande est sujette à être découpée en mots.
La valeur par défaut est « ${x_bindir
}/xrdb ».
Setup
This string is subject to word splitting. It specifies a program which is run (as root
) before offering the greeter window. This may be used to change the appearance of the screen around the greeter window or to put up other windows (e.g., you may want to run xconsole here). The conventional name for a program used here is Xsetup. See la section intitulée « Programme de configuration ».
Vide par défaut.
Startup
This string is subject to word splitting. It specifies a program which is run (as root
) after the user authentication process succeeds. The conventional name for a program used here is Xstartup. See la section intitulée « Programme de démarrage ».
Vide par défaut.
Reset
This string is subject to word splitting. It specifies a program which is run (as root
) after the session terminates. The conventional name for a program used here is Xreset. See la section intitulée « Programme de réinitialisation ».
Vide par défaut.
Session
This string is subject to word splitting. It specifies the session program to be executed (as the user owning the session). The conventional name for a program used here is Xsession. See la section intitulée « Programme de session ».
La valeur par défaut est « ${x_bindir
}/xterm -ls -T ».
FailsafeClient
If the Session
program fails to execute, kdm will fall back to this program. This program is executed with no arguments, but executes using the same environment variables as the session would have had (see la section intitulée « Programme de session »).
La valeur par défaut est « ${x_bindir
}/xterm ».
UserPath
La variable d'environment PATH
pour les Session
s non-root
.
La valeur par défaut dépend du système sur lequel kdm a été compilé.
SystemPath
La variable d'environment PATH
pour tous les programmes sauf les Session
s non-root
. Notez qu'il est de bonne pratique de ne pas inclure .
(le répertoire courant) dans cette entrée.
La valeur par défaut dépend du système sur lequel kdm a été compilé.
SystemShell
The SHELL
environment variable for all programs but the Session
.
La valeur par défaut est « /bin/sh ».
UserAuthDir
When kdm is unable to write to the usual user authorization file ($HOME
/.Xauthority), it creates a unique file name in this directory and points the environment variable XAUTHORITY
at the created file.
La valeur par défaut est « /tmp ».
AutoReLogin
If enabled, kdm will automatically restart a session after an X-Server crash (or if it is killed by Alt-Ctrl-BackSpace). Note that enabling this feature opens a security hole: a secured display lock can be circumvented (unless KDE's built-in screen locker is used).
La valeur par défaut est « false ».
AllowRootLogin
Si désactivé, ne pas permettre à root
(et tout autre utilisateur d'UID égal à 0) de se connecter directement.
La valeur par défaut est « true ».
AllowNullPasswd
Si désactivé, seuls les utilisateurs ayant un mot de passe assigné peuvent se connecter.
La valeur par défaut est « true ».
AllowShutdown
Qui peut arrêter le système. Ceci s'applique à la fois à l'écran d'accueil et à la FiFo de commande.
None
aucune entrée de menu Shutdown... ne sera montrée.
Root
le mot de passe root
devra être saisi pour l'arrêt
All
tout le monde peut arrêter la machine
La valeur par défaut est « All ».
AllowSdForceNow
Qui peut annuler les sessions actives lors d'une demande d'arrêt.
None
Aucun arrêt forcé n'est permis
Root
le mot de passe root
devra être saisi pour forcer un arrêt.
All
tout le monde peut arrêter la machine de manière forcée
La valeur par défaut est « All ».
DefaultSdMode
Le choix par défaut pour les conditions/synchronisations d'arrêt.
Schedule
arrêt après la fin de toutes les sessions actives (probablement immédiatement)
TryNow
arrêt si aucune session active n'est ouverte, sinon ne fait rien
ForceNow
arrêt sans condition
La valeur par défaut est « Schedule ».
ScheduledSd
Comment proposer des options de planification d'arrêt :
Never
aucune
Optionnel
sous forme de bouton dans les boîtes de dialogue d'arrêt simple
Toujours
au lieu des boîtes de dialogue d'arrêt simple
La valeur par défaut est « Never ».
NoPassEnable
Active la connexion sans mot de passe pour cet affichage. À utiliser avec une extrême prudence !
La valeur par défaut est « false ».
NoPassUsers
The users that do not need to provide a password to log in. Items which are prefixed with @
represent all users in the user group named by that item. *
means all users but root
(and any other user with UID = 0). Never list root
.
Vide par défaut.
AutoLoginEnable
Active la connexion automatique. À utiliser avec une extrême prudence !
La valeur par défaut est « false ».
AutoLoginAgain
Si ceci est activé, une connexion automatique aura lieu après une déconnexion. Sinon, une connexion automatique aura lieu seulement au démarrage d'une session d'affichage.
La valeur par défaut est « false ».
AutoLoginDelay
Le délai en secondes avant qu'une connexion automatique démarre. Ceci est aussi connu en tant que « Timed Login ».
AutoLoginUser
L'utilisateur à connecter automatiquement. Ne spécifiez jamais root
!
Vide par défaut.
AutoLoginPass
Le mot de passe pour l'utilisateur à connecter automatiquement. Ce n' est pas obligatoire à moins que l'utilisateur se connecte dans un domaine NIS ou Kerberos. Si vous utilisez cette option, vous devriez faire un chmod 600
kdmrc
pour des raisons évidentes.
Vide par défaut.
AutoLoginLocked
Verrouiller immediatement la session démarrée automatiquement. Ceci ne fonctionne qu'avec les sessions KDE.
La valeur par défaut est « false ».
SessionsDirs
Une liste de répertoires contenant les définitions de types de session.
La valeur par défaut est « ${kde_datadir
}/kdm/sessions ».
ClientLogFile
The file (relative to the user's home directory) to redirect the session output to. One occurrence of %s
in this string will be substituted with the display name. Use %%
to obtain a literal %
.
La valeur par défaut est « .xsession-errors ».
UseSessReg
Specify whether kdm's built-in utmp/wtmp/lastlog registration should be used. If it is not, the tool sessreg should be used in the Startup
and Reset
scripts, or, alternatively, the pam_lastlog module should be used on PAM-enabled systems.
La valeur par défaut est « true ».
This section class contains options concerning the configuration of the kdm frontend (greeter).
GUIStyle
Specify the widget style for the greeter. Empty means to use the built-in default which currently is Plastik
.
Vide par défaut.
ColorScheme
Specify the widget color scheme for the greeter. Empty means to use the built-in default which currently is yellowish grey with some light blue and yellow elements.
Vide par défaut.
LogoArea
What should be shown in the greeter righthand of the input lines (if UserList
is disabled) or above them (if UserList
is enabled):
None
rien
Logo
l'image spécifiée par LogoPixmap
.
Clock
une horloge analogique
La valeur par défaut est « Clock ».
LogoPixmap
L'image à afficher dans l'écran d'accueil lorsque LogoArea
vaut Logo
.
Vide par défaut.
GreeterPos
The relative coordinates (percentages of the screen size; X,Y) at which the center of the greeter is put. kdm aligns the greeter to the edges of the screen it would cross otherwise.
La valeur par défaut est « 50,50 ».
GreeterScreen
Le moniteur sur lequel l'écran d'accueil doit être affiché dans une configuration à plusieurs moniteurs et dans les configurations Xinerama. La numérotation débute 0. Pour Xinerama, elle correspond à l'ordre d'énumération dans la section ServerLayout active du fichier XF86Config ; -1 signifie d'utiliser l'écran en haut à gauche, -2 signifie d'utiliser l'écran en haut à droite.
GreetString
Le titre de l'écran d'accueil. Une abscence de valeur signifie aucun titre.
Les caractères suivants sont remplacés par leur valeur :
%d
nom de l'affichage actuel
%h
nom d'hôte local, éventuellement avec le nom de domaine
%n
le nom du noeud local, probablement le nom d'hôte sans le nom de domaine
%s
le système d'exploitation
%r
la version du système d'exploitation
%m
le type de machine (matériel)
%%
un simple %
La valeur par défaut est « Welcome to %s at %n ».
AntiAliasing
Si les polices affichées dans l'écran d'accueil doivent être lissées ou non (antialiasing).
La valeur par défaut est « false ».
GreetFont
La police de caractères à utiliser pour le titre de l'écran d'accueil.
La valeur par défaut est « Serif,20,bold ».
StdFont
La police de caractères standard à utiliser dans l'écran d'accueil.
La valeur par défaut est « Sans Serif,10 ».
FailFont
La police de caractères à utiliser pour le message « Login Failed ».
La valeur par défaut est « Sans Serif,10,bold ».
NumLock
Ce qu'il faut faire concernant le verrouillage du pavé numérique (« Num Lock ») lorsque l'écran d'accueil est exécuté :
Off
désactiver
On
activer
Keep
ne pas changer l'état
La valeur par défaut est « Keep ».
Langue
Langue et locale à utiliser dans l'écran d'accueil, encodé comme $LC_LANG
La valeur par défaut est « en_US ».
UserCompletion
Activer la complétion automatique dans la ligne d'édition du nom d'utilisateur.
La valeur par défaut est « false ».
UserList
Montrer une liste d'utilisateurs avec les noms de connexion de type UNIX, les noms réels, et les images dans l'écran d'accueil.
La valeur par défaut est « true ».
ShowUsers
This option controls which users will be shown in the user view (UserList
) and/or offered for autocompletion (UserCompletion
). If it is Selected
, SelectedUsers
contains the final list of users. If it is NotHidden
, the initial user list contains all users found on the system. Users contained in HiddenUsers
are removed from the list, just like all users with a UID greater than specified in MaxShowUID
and users with a non-zero UID less than specified in MinShowUID
. Items in SelectedUsers
and HiddenUsers
which are prefixed with @
represent all users in the user group named by that item. Finally, the user list will be sorted alphabetically, if SortUsers
is enabled.
La valeur par défaut est « NotHidden ».
SelectedUsers
Voir ShowUsers
.
Vide par défaut.
HiddenUsers
Voir ShowUsers
.
Vide par défaut.
MinShowUID
Voir ShowUsers
.
MaxShowUID
Voir ShowUsers
.
La valeur par défaut est « 65535 ».
SortUsers
Voir ShowUsers
.
La valeur par défaut est « true ».
FaceSource
Si UserList
est activé, ceci indique de quel emplacement kdm récupère les images :
AdminOnly
depuis <
FaceDir
>/$USER
.face[.icon]
PreferAdmin
préférer <FaceDir
>, se rabattre sur $HOME
PreferUser
... dans l'autre sens
UserOnly
depuis le $
de l'utilisateurHOME
/.face[.icon]
The images can be in any format Qt recognizes, but the filename must match kdm's expectations: .face.icon
should be a 48x48 icon, while .face
should be a 300x300 image. Currently the big image is used only as a fallback and is scaled down, but in the future it might be displayed full-size in the logo area or a tooltip.
La valeur par défaut est « AdminOnly ».
FaceDir
Voir FaceSource
.
La valeur par défaut est « ${kde_datadir
}/kdm/faces ».
PreselectUser
Spécifier si un utilisateur doit être présélectionné pour la connexion et, le cas échéant, lequel :
None
ne présélectionner aucun utilisateur
Previous
le dernier utilisateur qui se soit connecté avec succès
Default
l'utilisateur spécifié dans l'option DefaultUser
If FocusPasswd
is enabled and a user was preselected, the cursor is placed in the password input field automatically.
Activer la présélection d'utilisateur peut être considéré comme une faille de sécurité, puisqu'elle présente un nom de connexion valide à un attaquant éventuel, et qu'il « n'a alors qu'à » deviner le mot de passe. D'un autre côté, on pourrait positionner DefaultUser
à une fausse valeur de nom de connexion.
La valeur par défaut est « None ».
DefaultUser
Voir PreselectUser
.
Vide par défaut.
FocusPasswd
Voir PreselectUser
.
La valeur par défaut est « false ».
EchoMode
Le champ de saisie du mot de passe masque le texte saisi. Spécifier ici la façon dont ceci est réalisé :
OneStar
*
est affiché pour chaque caractère saisi
ThreeStars
***
est affiché pour chaque caractère saisi
NoEcho
rien n'est affiché, le curseur ne bouge pas
La valeur par défaut est « OneStar ».
UseBackground
If enabled, kdm will automatically start the krootimage program to set up the background; otherwise, the Setup
program is responsible for the background.
La valeur par défaut est « true ».
BackgroundCfg
The configuration file to be used by krootimage. It contains a section named [Desktop0]
like kdesktoprc
does. Its options are not described herein; guess their meanings or use the control center.
La valeur par défaut est « ${kde_confdir
}/kdm/backgroundrc ».
GrabServer
To improve security, the greeter grabs the X-Server and then the keyboard when it starts up. This option specifies if the X-Server grab should be held for the duration of the name/password reading. When disabled, the X-Server is ungrabbed after the keyboard grab succeeds; otherwise, the X-Server is grabbed until just before the session begins.
Activer cette option désactive UseBackground
et Setup
.
La valeur par défaut est « false ».
GrabTimeout
This option specifies the maximum time kdm will wait for the grabs to succeed. A grab may fail if some other X-client has the X-Server or the keyboard grabbed, or possibly if the network latencies are very high. You should be cautious when raising the timeout, as a user can be spoofed by a look-alike window on the display. If a grab fails, kdm kills and restarts the X-Server (if possible) and the session.
La valeur par défaut est « 3 ».
AuthComplain
Avertir, si un affichage n'a pas d'autorisation X (X-authorization). Ceci sera le cas si
le fichier d'autorisation pour un X-Server local ne peut pas être créé,
un affichage distant de XDMCP n'a demandé aucune autorisation ou
l'affichage est un affichage « étranger » spécifié dans StaticServers
.
La valeur par défaut est « true ».
LoginMode
Spécifie si l'écran d'accueil des affichages locaux soit être démarré en mode sélectionneur d'hôtes (distant) ou connexion (local) et s'il est permis de basculer entre ces deux modes.
LocalOnly
Seules les connexions locales sont possibles
DefaultLocal
Démarrage en mode local, mais permet de basculer en mode distant
DefaultRemote
... dans l'autre sens
RemoteOnly
Seul le choix d'hôtes distants est possible
La valeur par défaut est « LocalOnly ».
ChooserHosts
Liste d'hôtes séparés par des virgules à ajouter automatiquement au menu de connexion distante. Le nom spécial *
signifie broadcast, et n'a pas d'effet si LoginMode
vaut LocalOnly
.
La valeur par défaut est « * ».
ForgingSeed
Use this number as a random seed when forging saved session types, etc. of unknown users. This is used to avoid telling an attacker about existing users by reverse conclusion. This value should be random but constant across the login domain.
ShowLog
Enable kdm's built-in xconsole. Note that this can be enabled for only one display at a time. This option is available only if kdm was configured with --enable-kdm-xconsole
.
La valeur par défaut est « false ».
LogSource
The data source for kdm's built-in xconsole. If empty, a console log redirection is requested from /dev/console
. Has no effect if ShowLog
is disabled.
Vide par défaut.
PluginsLogin
Specify conversation plugins for the login dialog; the first in the list is selected initially. Each plugin can be specified as a base name (which expands to $
) or as a full pathname. kde_modulesdir
/kgreet_base
Conversation plugins are modules for the greeter which obtain authentication data from the user. Currently only the classic
plugin is shipped with KDE; it presents the well-known username and password form.
La valeur par défaut est « classic ».
PluginsShutdown
Identique à PluginsLogin
, mais pour la boîte de dialogue d'arrêt.
La valeur par défaut est « classic ».
PluginOptions
A list of options of the form Key
=
Value
. The conversation plugins can query these settings; it is up to them what possible keys are.
Vide par défaut.
AllowConsole
Montre l'action Passer en mode console dans l'écran d'accueil (si ServerTTY
/ConsoleTTYs
est configuré).
La valeur par défaut est « true ».
AllowClose
Montre l'action Redémarrer le serveur X/Close Connection dans l'écran d'accueil.
La valeur par défaut est « true ».
Preloader
Un programme à exécuter lorsque l'écran d'accueil est visible. Dans la mesure du possible, il est supposé être préchargé avant la session qui est sur le point d'être démarrée (le plus probablement).
Vide par défaut.
UseTheme
Si des thèmes peuvent être appliqués à l'écran d'accueil.
La valeur par défaut est « false ».
Theme
Le thème à utiliser pour l'écran d'accueil. Peut pointer soit sur un répertoire soit sur un fichier XML.
Vide par défaut.
Each entry in the StaticServers
list indicates a display which should constantly be managed and which is not using XDMCP. This method is typically used only for local X-Servers that are started by kdm, but kdm can manage externally started (« foreign ») X-Servers as well, may they run on the local machine or rather remotely.
The formal syntax of a specification is
display name
[_
display class
]
for all X-Servers. « Foreign » displays differ in having a host name in the display name, may it be localhost
.The display name
must be something that can be passed in the -display
option to an X program. This string is used to generate the display-specific section names, so be careful to match the names. The display name of XDMCP displays is derived from the display's address by reverse host name resolution. For configuration purposes, the localhost
prefix from locally running XDMCP displays is not stripped to make them distinguishable from local X-Servers started by kdm.
The display class
portion is also used in the display-specific sections. This is useful if you have a large collection of similar displays (such as a corral of X terminals) and would like to set options for groups of them. When using XDMCP, the display is required to specify the display class, so the manual for your particular X terminal should document the display class string for your device. If it does not, you can run kdm in debug mode and grep the log for « class ».
The displays specified in ReserveServers
will not be started when kdm starts up, but when it is explicitly requested via the command socket (or FiFo). If reserve displays are specified, the KDE menu will have a Start New Session item near the bottom; use that to activate a reserve display with a new login session. The monitor will switch to the new display, and you will have a minute to login. If there are no more reserve displays available, the menu item will be disabled.
When kdm starts a session, it sets up authorization data for the X-Server. For local servers, kdm passes -auth
on the X-Server's command line to point it at its authorization data. For XDMCP displays, kdm passes the authorization data to the X-Server via the « Accept » XDMCP message.filename
The file specified by the AccessFile
option provides information which kdm uses to control access from displays requesting service via XDMCP. The file contains four types of entries: entries which control the response to « Direct » and « Broadcast » queries, entries which control the response to « Indirect » queries, macro definitions for « Indirect » entries, and entries which control on which network interfaces kdm listens for XDMCP queries. Blank lines are ignored, #
is treated as a comment delimiter causing the rest of that line to be ignored, and \
causes an immediately following newline to be ignored, allowing indirect host lists to span multiple lines.
The format of the « Direct » entries is simple, either a host name or a pattern, which is compared against the host name of the display device. Patterns are distinguished from host names by the inclusion of one or more meta characters; *
matches any sequence of 0 or more characters, and ?
matches any single character. If the entry is a host name, all comparisons are done using network addresses, so any name which converts to the correct network address may be used. Note that only the first network address returned for a host name is used. For patterns, only canonical host names are used in the comparison, so ensure that you do not attempt to match aliases. Host names from XDMCP queries always contain the local domain name even if the reverse lookup returns a short name, so you can use patterns for the local domain. Preceding the entry with a !
character causes hosts which match that entry to be excluded. To only respond to « Direct » queries for a host or pattern, it can be followed by the optional NOBROADCAST
keyword. This can be used to prevent a kdm server from appearing on menus based on « Broadcast » queries.
An « Indirect » entry also contains a host name or pattern, but follows it with a list of host names or macros to which the queries should be forwarded. « Indirect » entries can be excluding as well, in which case a (valid) dummy host name must be supplied to make the entry distinguishable from a « Direct » entry. If compiled with IPv6 support, multicast address groups may also be included in the list of addresses the queries are forwarded to. If the indirect host list contains the keyword CHOOSER
, « Indirect » queries are not forwarded, but instead a host chooser dialog is displayed by kdm. The chooser will send a « Direct » query to each of the remaining host names in the list and offer a menu of all the hosts that respond. The host list may contain the keyword BROADCAST
, to make the chooser send a « Broadcast » query as well; note that on some operating systems, UDP packets cannot be broadcast, so this feature will not work.
When checking access for a particular display host, each entry is scanned in turn and the first matching entry determines the response. « Direct » and « Broadcast » entries are ignored when scanning for an « Indirect » entry and vice-versa.
A macro definition contains a macro name and a list of host names and other macros that the macro expands to. To distinguish macros from hostnames, macro names start with a %
character.
The last entry type is the LISTEN
directive. The formal syntax is
LISTEN
[interface
[multicast list
]]
If one or more LISTEN
lines are specified, kdm listens for XDMCP requests only on the specified interfaces. interface
may be a hostname or IP address representing a network interface on this machine, or the wildcard *
to represent all available network interfaces. If multicast group addresses are listed on a LISTEN
line, kdm joins the multicast groups on the given interface. For IPv6 multicasts, the IANA has assigned ff0X
:0:0:0:0:0:0:12b as the permanently assigned range of multicast addresses for XDMCP. The X
in the prefix may be replaced by any valid scope identifier, such as 1 for Node-Local, 2 for Link-Local, 5 for Site-Local, and so on (see IETF RFC 2373 or its replacement for further details and scope definitions). kdm defaults to listening on the Link-Local scope address ff02:0:0:0:0:0:0:12b to most closely match the IPv4 subnet broadcast behavior. If no LISTEN
lines are given, kdm listens on all interfaces and joins the default XDMCP IPv6 multicast group (when compiled with IPv6 support). To disable listening for XDMCP requests altogether, a LISTEN
line with no addresses may be specified, but using the [Xdmcp]
Enable
option is preferred. Les programmes suivants sont exécutés par kdm à différentes étapes d'une session. Ce sont typiquement des scripts shell.
Les programmes de configuration, de démarrage et de réinitialisation sont exécutés en tant que root
, ils doivent donc faire attention à propos des problèmes de sécurité. Leur premier argument est auto
si la session résulte d'une connexion automatique ; sinon, aucun argument ne leur est transmis.
Le programme Xsetup
est exécuté après le démarrage ou la réinitialisation du X-Server, mais avant que l'écran d'accueil ne soit affiché. C'est l'endroit où changer l'arrière plan de base (si UseBackground
est désactivé) ou faire surgir d'autres fenêtres qui doivent apparaître sur le moniteur avec l'écran d'accueil.
En sus de toutes celles qui peuvent être spécifiées dans ExportList
, les variables d'environment suivantes sont transmises :
le nom d'affichage associé
la valeur de SystemPath
la valeur de SystemShell
peut contenir un fichier d'autorité
la valeur de FifoDir
Note that since kdm grabs the keyboard, any other windows will not be able to receive keyboard input. They will be able to interact with the mouse, however; beware of potential security holes here. If GrabServer
is set, Xsetup
will not be able to connect to the display at all. Resources for this program can be put into the file named by Resources
.
The Xstartup
program is run as root
when the user logs in. This is the place to put commands which add entries to utmp
(the sessreg program may be useful here), mount users' home directories from file servers, or abort the session if some requirements are not met (but note that on modern systems, many of these tasks are already taken care of by PAM modules).
En sus de toutes celles qui peuvent être spécifiées dans ExportList
, les variables d'environment suivantes sont transmises :
le nom d'affichage associé
le répertoire de travail initial de l'utilisateur
le nom d'utilisateur
le nom d'utilisateur
la valeur de SystemPath
la valeur de SystemShell
peut contenir un fichier d'autorité
la valeur de FifoDir
kdm waits until this program exits before starting the user session. If the exit value of this program is non-zero, kdm discontinues the session and starts another authentication cycle.
The Xsession
program is the command which is run as the user's session. It is run with the permissions of the authorized user. One of the keywords failsafe
, default
or custom
, or a string to eval by a Bourne-compatible shell is passed as the first argument.
En sus de toutes celles qui peuvent être spécifiées dans ExportList
, les variables d'environment suivantes sont transmises :
le nom d'affichage associé
le répertoire de travail initial de l'utilisateur
le nom d'utilisateur
le nom d'utilisateur
la valeur de UserPath
(ou SystemPath
pour les sessions utilisateur de root
)
le shell par défaut de l'utilisateur
peut contenir un fichier d'autorité non standard
peut contenir un nom de cache d'autorisations Kerberos4
peut contenir un nom de cache d'autorisations Kerberos5
la valeur de FifoDir
will contain a comma-separated list of parameters the session might find interesting, like the location of the command FiFo and its capabilities, and which conversation plugin was used for the login
le nom de la session que l'utilisateur a choisi d'exécuter
Symmetrical with Xstartup
, the Xreset
program is run after the user session has terminated. Run as root
, it should contain commands that undo the effects of commands in Xstartup
, removing entries from utmp
or unmounting directories from file servers.
Les variables d'environment qui ont été transmises à Xstartup
le sont aussi à Xreset
.
Dans ce chapitre, nous considérons que X Window System® s'éxécute déjà correctement sur votre système, et que vous devez seulement le reconfigurer pour permettre une connexion en mode graphique.
L'élément fondamental qui oriente le terme de la séquence d'initialisation - soit vers un terminal (mode console), soit vers un gestionnaire de connexion graphique - est le niveau d'exécution (runlevel) par défaut de votre système. Le niveau d'exécution est défini par le programme /sbin/init qui dépend elle-même du fichier de configuration /etc/inittab
. Il peut être différent d'un systèmes UNIX® et d'une distribution Linux® à un(e) autre ; mais si vous jetez un œil au fichier /etc/inittab
, il devrait invariablement commencer par quelque chose comme :
# Default runlevel. The runlevels used by RHS are: # 0 - halt (Do NOT set initdefault to this) # 1 - Single user mode # 2 - Multiuser, without NFS # 3 - Full multiuser mode # 4 - unused # 5 - X11 # 6 - reboot (Do NOT set initdefault to this) id:3:initdefault:
L'ensemble des lignes, exceptée la dernière, sont descommentaires (précédés de « # »). Ces commentaires nous indiquent que le niveau d'exécution (runlevel) 5 est utilisé pour X11 et que le mode multiutilisateurs sans X11 (mode console uniquement) utilise, quant à lui, le niveau 3. La dernière ligne spécifie que le niveau d'exécution par défaut du système est 3 (mode console). Si vous utilisez déjà un gestionnaire de connexion en mode graphique (par exemple xdm), le niveau d'exécution par défaut correspondra à celui qui est défini pour X11.
Sur les distributions Linux® les plus courantes, le niveau d'exécution correspondant à une connexion en mode graphique (xdm) est :
5 pour les distributions Red Hat® (depuis la version 3.x) et Mandrake™ ;
4 pour les distributions Slackware ;
3 pour les distributions SuSE® en versions 4.x et 5.x.
Avant toute chose, assurez-vous de pouvoir lancer kdm en ligne de commande. Une fois cette certitude acquise, vous pouvez modifier la configuration du système de manière à ce que kdm soit lancé automatiquement à chaque démarrage.
Pour tester le fonctionnement de kdm, vous devez d'abord amener votre système à un niveau d'exécution différent de celui utilisé pour xdm. Pour ceci, tapez la commande :
/sbin/init 3
Bien entendu, le chiffre 3
est à remplacer, le cas échéant, par le niveau d'exécution correspondant au fonctionnement du « mode console » sur votre système.
Si votre système utilise les Pluggable Authentication Modules (PAM), ce qui devrait être le cas sur les systèmes Linux® et Solaris récents, veuillez vérifier que votre configuration de PAM autorise la connexion via le service nommé kde
. Si vous utilisiez déjà xdm précédemment, vous n'aurez certainement pas besoin de toucher à votre configuration de PAM pour utiliser kdm (voir dans /etc/pam.conf
ou /etc/pam.d/kde
). Donner des informations sur la configuration de PAM sort du cadre de ce manuel, cependant PAM est accompagné d'une documentation complète (essayez d'aller voir /usr/share/doc/*pam*/html
).
Le moment est venu de tester kdm, en saisissant la ligne suivante :
kdm -nodaemon
Si la boîte de connexion de kdm s'affiche et que vous pouvez vous connecter, c'est que tout se passe bien. Le principal problème que l'on pourrait rencontrer à ce stade serait que l'exécuteur de liens ne trouve pas les bibliothèques partagées Qt™ ou KDE. Si vous avez installé une distribution binaire des bibliothèques KDE, assurez-vous que kdm est installé là où les bibliothèques pensent que KDE est installé et essayez de faire pointer les variables d'environnement concernées vers l'emplacement réel de vos bibliothèques KDE et Qt™.
Par exemple :
exportKDEDIR=
export/opt/kde
QTDIR=
export/usr/lib/qt2
PATH=
export$KDEDIR/bin:$QTDIR/bin:$PATH
LD_LIBRARY_PATH=
$KDEDIR/lib:$QTDIR/lib
Si cela ne fonctionne toujours pas, essayer de lancer xdm à la place de kdm pour vérifier que la source du dysfonctionnement n'est pas un problème plus grave dans la configuration de X.
Une fois que aurez réussi à lancer kdm sans problème, vous pourrez le mettre à la place de xdm. Une fois de plus, la façon de faire est spécifique à la distribution employée.
Sur une Red Hat®, éditez le fichier /etc/inittab
et cherchez cette ligne :
x:5:respawn:/usr/X11/bin/xdm -nodaemon
et remplacez-la avec :
x:5:respawn:/opt/kde/bin/kdm
Ceci indique à init(8) qu'il faut relancer kdm lorsque le système est sur le niveau d'exécution (runlevel) 5. Notez que kdm n'a pas besoin de l'option -nodaemon
.
Sur une Mandrake™, le niveau d'exécution de X11 dans /etc/inittab
appelle le script shell de configuration /etc/X11/prefdm
, qui est réglé pour choisir un des différents gestionnaires de connexion graphique du système, dont kdm. Assurez-vous que tous les chemins sont corrects pour votre installation.
Sur une SuSE®, modifiez le fichier /sbin/init.d/xdm
et ajoutez, en premières lignes :
. /etc/rc.config DISPLAYMANAGER=kdm export DISPLAYMANAGER
Pour FreeBSD, éditez le fichier /etc/ttys
et trouvez la ligne suivante :
ttyv8 "/usr/X11R6/bin/xdm -nodaemon" xterm off secure
et modifiez-la de cette façon :
ttyv8 "/usr/local/bin/kdm" xterm on secure
Pour la plupart des autres distributions, la méthode s'apparente à l'une de celles-ci.
Arrivé à ce stade, vous pouvez à nouveau tester le fonctionnement de kdm en amenant le système au niveau d'exécution correspondant. Pour ceci, saisissez la commande :
/sbin/init 5
Il vous faudra peut-être remplacer le chiffre 5
par le niveau d'exécution correspondant au fonctionnement de X11 sur votre système.
La dernière étape consiste à éditer l'entrée initdefault
du fichier /etc/inittab
pour y préciser le niveau d'exécution approprié au fonctionnement de X11.
Avant d'effectuer ce changement et dans l'éventualité d'un problème, assurez-vous que vous disposez d'un moyen alternatif pour démarrer votre système. Ce peut être la disquette de « secours » (rescue) fournie par votre distribution (créée pendant l'installation, par exemple) ou encore une disquette spécialement conçue telle que tomsrtbt
. Ignorez ces consignes à vos risques et périls !
En général, cela implique le changement de cette ligne :
id:3:initdefault:
en
id:5:initdefault:
Lorsque vous redémarrez votre système, vous devriez terminer par l'affichage de l'interface de connexion graphique de kdm.
Si cette étape se solde par un échec, c'est très certainement que l'environnement système de la séquence d'initialisation est différent de celui de vos tests en lignes de commande. Si vous tentez de faire cohabiter deux versions différentes de KDE soyez particulièrement attentif à la viabilité de vos variables d'environnement PATH
et LD_LIBRARY_PATH
et à ce que les scripts de démarrage ne les écrasent pas.
Lorsqu'il est lancé, kdm détecte la majorité des gestionnaires de fenêtre et des environnements de bureau disponibles. Si vous en installez un nouveau, il devrait être rendu disponible automatiquement dans la boîte de dialogue Type de Session : de kdm.
Si vous avez un gestionnaire de fenêtre très récent, ou que kdm ne supporte pas, vous devez d'abord vérifier que l'application à exécuter est dans le PATH
et qu'elle n'a pas été renommée en quelque chose d'inattendu lors de l'installation.
Dans le cas où l'application serait trop récente et pas encore supportée par kdm, vous pouvez assez facilement ajouter une nouvelle session.
Les sessions sont définies dans les fichiers .desktop se trouvant dans $
. Vous pouvez simplement ajouter un fichier KDEDIR
/share/apps/kdm/sessions.desktop
nommé de manière appropriée dans ce dossier. Les champs sont les suivants :
[Desktop Entry] Encoding=UTF-8 Ceci est fixé àUTF-8
et peut être omis Type=XSession Ceci est fixé àXSession
et peut être omis Exec=nom de l'exécutable
Transmis à eval exec dans un Bourne shell TryExec=nom de l'exécutable
Supporté mais pas requis Name=Nom à afficher dans la liste des sessions de kdm
Il y a aussi trois entrées particulières :
La session par défaut de kdm est normalement KDE mais elle peut être confgurée par l'administrateur système.
La session personnalisée utilisera le fichier ~/.xsession des utilisateurs s'il existe.
Lance une session très simple qui est utile uniquement pour le dépannage.
Pour modifier un type de session, copiez le fichier .desktop du dossier de données vers le dossier de configuration et modifiez-le à volonté. Pour supprimer les types de session inclus, vous pouvez les « cacher » avec un fichier .desktop contenant Hidden=true. Pour les sessions particulières, aucun .desktop n'existe mais kdm fait comme si, c'est pourquoi vous pouvez les modifier de la même façon que n'importe quelle session. Dorénavant, je suppose que vous savez comment ajouter un nouveau type de session.
XDMCP est un standard de l'Open Group, le « X Display Manager Control Protocol ». Ceci sert à établir, via le réseau, des connexions entre des systèmes distants.
XDMCP est utile dans les situations multiutilisateurs, où il y a des utilisateurs avec des stations de travail et un serveur plus puissant qui peut fournir les ressources pour faire fonctionner de multiples sessions X. Par exemple, XDMCP est un bon moyen pour réutiliser de vieux ordinateurs - un Pentium ou même un 486 avec 16 Mo de RAM est suffisant pour exécuter X, et, en utilisant XDMCP, un tel ordinateur peut lancer une session KDE moderne complète à partir d'un serveur. Pour la partie serveur, une fois qu'une seule session KDE (ou un autre environnement) est exécutée, démarrer une nouvelle session ne réclame que très peu de ressources supplémentaires.
Cependant, l'autorisation d'une autre méthode de connexion à votre machine a des implication de sécurité évidentes. Vous ne devriez lancer ce service que si vous avez besoin d'autoriser des serveurs X distants à connecter des sessions sur votre système. Les utilisateurs avec un seul ordinateur UNIX® ne devraient pas avoir besoin de le démarrer.
C'est option, vous permet le contrôle à distance de kdm. Elle est principalement prévue pour être utilisée par ksmserver et kdesktop depuis une session démarrée, mais d'autres utilisations sont aussi possibles.
Les connecteurs réseau (sockets) sont de type UNIX® et résident dans des sous-dossiers du dossier spécifié par FifoDir
=. Le sous-dossier est la clé de l'adressage et de la sécurité ; tous les connecteurs réseau portent le nom socket
et les permissions de fichiers sont rw-rw-rw-
(0666). Ceci est dû au fait que certains systèmes ne tiennent pas compte des permissions de fichiers des fichiers des connecteurs réseau.
Il existe deux types de connecteurs réseau : les globaux (dmctl) et ceux liés à un affichage (dmctl-<display>).
Le sous-dossier des connecteurs réseau globaux appartient à root. Les sous-dossiers des connecteurs réseau liés à un affichage appartiennent à l'utilisateur actuellement propriétaire de la session (root ou l'utilisateur connecté). L'appartenance des sous-dossiers à un groupe peut être réglée via FifoGroup=, et par défaut il s'agit de root. Les permissions sur les sous-dossiers sont rwxr-x--- (0750).
Les champs d'une commande sont séparés par des tabulations (\t), les champs d'une liste sont séparés par des espaces, les espaces littéraux dans un champ de liste sont représentés par un \s.
La commande se termine par la fin d'une ligne (\n).
La même chose s'applique aux réponses. Le retour en cas de succès est ok, qui peut être suivi de l'information demandée. La réponse en cas d'erreur est du style de celle de errno (par exemple, perm, noent, etc.) suivi par une explication plus longue.
Commandes globales :
display
(now
| schedule
) user
password
[session_arguments]authentifie un utilisateur sur un affichage particulier (display). Si le paramètre now
est spécifié, toute session déjà démarrée sera terminée, dans le cas contraire l'authentification se fera à la fin de la session. Les arguments session_arguments sont formatés à la façon d'un printf pour .dmrc. Les clefs non listées gardent les valeurs précédemment enregistrées.
Commandes propres a un affichage :
L'affichage est marqué comme verrouillé (locked). Si le X-Server plante dans cet état, aucune reconnexion automatique ne sera réalisée même si l'option est activée.
Annule l'effet de la commande lock et réactive la reconnexion automatique.
L'arrêt de la session en cours est forcé. Aucune reconnexion automatique n'est tentée, mais une commande "login" planifiée sera exécutée.
Commande pour tous les connecteurs réseau (sockets)
Retourne une liste des fonctionnalités supportées par ce connecteur réseau :
identifie kdm dans le cas où un autre gestionnaire de connexion implémenterait aussi ce protocole
Ces commandes respectives sont supportées
Pour l'arrêt, la commande listbootoptions et le =
de shutdown sont gérés
shutdown est supporté et autorisé pour les utilisateurs listés (liste séparée par virgule). * signifie tous les utilisateurs authentifiés.
L'arrêt forcé du système peut être effectué par les utilisateurs listés.
L'arrêt forcé du système peut être effectué par tout le monde
Des affichages réservés sont configurés, et nombre sont disponibles en ce moment
all
| alllocal
]Retourne la liste des sessions en cours. Par défaut toutes les sessions actives sont affichées. Si le paramètre all
est spécifié, les sessions passives le sont aussi. Si alllocal
est spécifié, les sessions passives sont listées, mais pas les sessions distantes entrantes.
Chaque entrée de session est un n-uplet (tuple) séparé par des virgules :
Affichage (display) ou nom du TTY
Nom du terminal virtuel (VT) pour les sessions locales
Nom de l'utilisateur connecté, vide pour les sessions passives et les sessions distantes sortantes (mode de sélection local)
Type de session ou « <remote> » pour les sessions sortantes, vide pour les sessions passives.
Un drapeau :
*
pour l'affichage (display) appartenant au connecteur réseau (socket) faisant la requête.
!
pour les sessions qui ne peuvent pas être terminées par le connecteur réseau (socket) faisant la requête.
De nouveaux champs pourraient être ajoutés dans le futur.
délai en secondes
]Démarre un nouvel écran de connexion. Si personne ne se connecte pendant la période de temps indiquée (une minute par défaut), l'affichage est de nouveau enlevé. Lorsque la session sur cet affichage est terminée, l'affichage est également enlevé.
Permis seulement sur les connecteurs réseau (sockets) des affichages locaux et le connecteur réseau global.
vt
|affichage
)Change pour un VT (terminal virtuel) particulier. Le VT peut être spécifié soit directement (par exemple vt3
) soit par l'affichage qui l'utilise (:2
).
Permis seulement sur les connecteurs réseau (sockets) des affichages locaux et le connecteur réseau global.
Liste les options de démarrage disponibles.
reboot
| halt
) [=bootchoice
] (ask
|trynow
|forcenow
|schedule
|start (-1
|end (force
|forcemy
|cancel)
)
)
)Demande un arrêt électrique ou un redémarrage du système.
Le choix d'un système d'exploitation pour le prochain démarrage peut être fait à partir de la liste retournée par listbootoptions
Les demandes d'arrêt depuis les connecteurs réseau (sockets) associés à un affichage sont exécutées lorsque la session courante sur cet affichage se termine. Une telle requête peut faire surgir une fenêtre demandant une confirmation et/ou une authentification
start
est l'heure à laquelle l'arrêt est programmé. Si ce paramètre commence par le signe '+', l'heure courante est ajoutée. Une valeur nulle revient à demander un arrêt immédiat.
end
est l'heure la plus tardive à laquelle l'arrêt doit être effectué si des sessions sont encore actives. Si ce paramètre commence par le signe '+', l'heure de démarrage est ajoutée. -1 signifie d'attendre indéfiniment. Si end est atteint et qu'il y a encore des sessions actives, kdm peut faire l'une des choses suivantes :
cancel
- abandonne l'arrêt
force
- arrête quoi qu'il arrive
forcemy
- arrête quoi qu'il arrive, si toutes les sessions actives appartiennent à l'utilisateur faisant la requête. Uniquement pour les connecteurs réseau (sockets) par affichage.
start
etend
sont spécifiés en secondes depuis l'origine des temps (epoch) d'UNIX®.
trynow
est un synonyme pour 0 0 cancel
, forcenow
pour 0 0 force
et schedule
pour 0 -1
.
ask
tente un arrêt immédiat et interagit avec l'utilisateur si des sessions sont toujours actives. Uniquement pour les connecteurs réseau (sockets) par affichage.
local
|global
}Annule un arrêt programmé. Le connecteur réseau (socket) global par affichage annule toujours la procédure d'arrêt en cours, alors que les connecteurs réseau liés à un affichage suspendent par défaut leurs requêtes mises en file d'attente.
Retourne une liste d'information à propos des procédures d'arrêt.
Les entrées sont des n-uplets (tuples) séparés par des virgules :
(global|local) - arrêts en cours v.s. arrêts en file d'attente. Une entrée locale ne peut être retournée que par un connecteur réseau (socket) associé a un affichage.
(halt|reboot)
start
end
("ask"|"force"|"forcemy"|"cancel")
Identifiant numérique (ID) de l'utilisateur à l'origine de la demande, '-1' pour le connecteur réseau (socket) global.
Le choix de système d'exploitation pour le prochain démarrage ou "-" s'il n'y en a pas.
De nouveaux champs peuvent être ajoutés plus tard
Il y a deux méthodes pour utiliser les connecteurs réseau (sockets) :
Se connecter à eux directement. Leur dossier ( FifoDir ) est exporté en tant que $DM_CONTROL
; le nom de connecteurs réseau (sockets) associés à un affichage peut être dérivé de $DISPLAY
.
En utilisant la commande kdmctl (par exemple depuis un script shell). Essayez kdmctl -h
pour en apprendre plus.
Voici l'exemple d'un script bash « redémarrer sous FreeBSD » :
if kdmctl | grep -q shutdown; then IFS=$'\t' set -- `kdmctl listbootoptions` if [ "$1" = ok ]; then fbsd=$(echo "$2" | tr ' ' '\n' | sed -ne 's,\\s, ,g;/freebsd/I{p;q}') if [ -n "$fbsd" ]; then kdmctl shutdown reboot "=$fbsd" ask > /dev/null else echo "Démarrage de FreeBSD indisponible." fi else echo "Options de démarrage indisponibles." fi else echo "Je ne peux pas redémarrer le système." fi
Étant donné que kdm dérive de xdm, la page de manuel de xdm peut fournir des informations générales utiles. Pour les problèmes relatifs à X, essayez les pages de manuel de X et startx. Si vous avez des questions à propos de kdm auxquelles ce manuel ne répond pas, profitez du fait que kdm soit distribué selon les termes de la Licence Publique Générale GNU : jetez un oeil au code source.
kdm dérive de xdm ((C) Keith Packard, MIT X Consortium) dont il reprend une partie du code.
kdm 0.1 a été écrit par Matthias Ettrich. Les versions suivantes jusqu'à KDE 2.0.x ont été écrites par Steffen Hansen. Certaines nouvelles fonctionnalités pour KDE 2.1.x et une réécriture majeure pour KDE 2.2.x ont été faites par Oswald Buddenhagen.
Les droits d'auteurs pour le reste du code de kdm appartiennent aux différents auteurs et il est soumis aux termes de la licence GNU GPL. Chacun est libre d'apporter des modifications à kdm et de les redistribuer tant que les noms des auteurs sont mentionnés.
kdm requiert la bibliothèque Qt™, dont les droits d'auteurs appartiennent à Troll Tech SA.
Contributeurs à la documentation :
La documentation écrite par Steffen Hansen (stefh AT dit.ou.dk)
Documentation complétée par Gregor Zumstein (zumstein AT ssd.ethz.ch)
. Dernière mise à jour : 9 août 1998
Documentation révisée pour KDE 2 par Neal Crook (nac AT forth.org)
. Dernière mise à jour : 6 août 2000
Documentation étendue et révisée pour KDE 2.2 par Oswald Buddenhagen (ossi AT kde.org)
. Dernière mise à jour : août 2001
Droits d'auteurs sur la documentation appartenant à : Steffen Hansen, Gregor Zumstein, Neal Crook et Oswald Buddenhagen. Ce document inclut aussi de grandes parties de la page de manuel de xdm qui est (c) Keith Packard.
Cette documentation est soumise aux termes de la Licence de Documentation Libre GNU (GNU Free Documentation License).
Ce programme est soumis aux termes de la Licence Générale Publique GNU (GNU General Public License).
Would you like to make a comment or contribute an update to this page?
Send feedback to the KDE Docs Team