summaryrefslogtreecommitdiffstats
path: root/doc/fr/PerlQt.pod
diff options
context:
space:
mode:
Diffstat (limited to 'doc/fr/PerlQt.pod')
-rw-r--r--doc/fr/PerlQt.pod400
1 files changed, 200 insertions, 200 deletions
diff --git a/doc/fr/PerlQt.pod b/doc/fr/PerlQt.pod
index 5036239..b92cbdf 100644
--- a/doc/fr/PerlQt.pod
+++ b/doc/fr/PerlQt.pod
@@ -1,43 +1,43 @@
-=head1 Programmer avec PerlQt
+=head1 Programmer avec PerlTQt
B<Germain Garand> traduit par B<Stéphane Payrard>, révisé et augmenté par l'auteur.
-Ce document décrit l'interface Perl au toolkit Qt 3.x. Contacter
+Ce document décrit l'interface Perl au toolkit TQt 3.x. Contacter
l'auteur à <germain@ebooksfrance.com> ou le traducteur à
<stef@mongueurs.net>. Vous trouverez le document original sur le site
L<perlqt.sourceforge.net|"http://perlqt.sourceforge.net">
=head1 Introduction
-PerlQt-3, crée par Ashley Winters, est une interface perl aux composants
-graphiques (et non graphiques) fournis par Qt3.
+PerlTQt-3, crée par Ashley Winters, est une interface perl aux composants
+graphiques (et non graphiques) fournis par TQt3.
-Le toolkit Qt 3.0 auquel PerlQt accède à été écrit en C++ par la société
+Le toolkit TQt 3.0 auquel PerlTQt accède à été écrit en C++ par la société
Trolltech: L<Trolltech|"http://www.trolltech.com">.
-PerlQt3 est fondé sur la librairie
+PerlTQt3 est fondé sur la librairie
L<SMOKE|"http://webcvs.kde.org/cgi-bin/cvsweb.cgi/kdebindings/smoke">,
une surcouche fine indépendante du langage. Cette couche a été générée
-à partir des fichiers d'en tête de Qt par le
+à partir des fichiers d'en tête de TQt par le
L<kalyptus|"http://webcvs.kde.org/cgi-bin/cvsweb.cgi/kdebindings/kalyptus">
de Richard Dale grâce au module de David Faure.
-Le présent document décrit les principes de la programmation PerlQt.
+Le présent document décrit les principes de la programmation PerlTQt.
Vous devez avoir des notions de programmation orientée objet en Perl pour le
lire. Une connaissance de C++ est recommandée mais non requise. Avec
celle de l'anglais, elle vous facilitera la consultation des L<manuels
-en ligne de Qt|"http://doc.trolltech.com">. Ladite documentation est
+en ligne de TQt|"http://doc.trolltech.com">. Ladite documentation est
la seule référence qui fasse autorité.
-Si Qt est installé sur votre système, sa documentation l'est
-certainement aussi : voyez le programme $QTDIR/bin/assistant.
+Si TQt est installé sur votre système, sa documentation l'est
+certainement aussi : voyez le programme $TQTDIR/bin/assistant.
=head1 Installation
=head2 Conditions requises
-Pour compiler et utiliser PerlQt, vous devez avoir:
+Pour compiler et utiliser PerlTQt, vous devez avoir:
=over 4
@@ -52,17 +52,17 @@ L<Perl E<gt>= v5.6.0|"http://www.perl.org">
=item *
-L<Qt E<gt>=
+L<TQt E<gt>=
v3.0|"http://www.trolltech.com/developer/download/qt-x11.html">
=item *
-L<SmokeQt
+L<SmokeTQt
1.2.1|"http://webcvs.kde.org/cgi-bin/cvsweb.cgi/kdebindings/smoke"> La
librarie SMOKE (Scripting Meta Object Kompiler) fait partie du module
L<KDE|"http://www.kde.org">'s B<kdebindings>. Vous pouvez vérifier si
une version précompilée de ce module existe pour votre système. Mais
-perlQt inclut une copie, donc la version précompilée n'est pas
+perlTQt inclut une copie, donc la version précompilée n'est pas
nécessaire.
=item *
@@ -71,23 +71,23 @@ Les outils GNU : automake(>=1.5), autoconf (>=2.13), aclocal...
=back
-L'installation de Perl et de Qt sont en dehors du sujet du présent
+L'installation de Perl et de TQt sont en dehors du sujet du présent
document. Se référer aux documentations respectives de ces logiciels.
-=head2 Compilation de PerlQt
+=head2 Compilation de PerlTQt
Les instructions de cette section présupposent que le répertoire courant est
-le répertoire racine de l'arborescence des sources de PerlQt.
+le répertoire racine de l'arborescence des sources de PerlTQt.
-PerlQt utilise le système GNU Autoconf, mais il est préférable de le lancer via
+PerlTQt utilise le système GNU Autoconf, mais il est préférable de le lancer via
le script standard C<Makefile.PL> :
perl Makefile.PL
-B<N.B :> Si la variable d'environnement B<QTDIR> n'est pas définie, vous devrez
-peut-être spécifier manuellement l'emplacement de Qt à l'aide de l'option :
+B<N.B :> Si la variable d'environnement B<TQTDIR> n'est pas définie, vous devrez
+peut-être spécifier manuellement l'emplacement de TQt à l'aide de l'option :
- --with-qtdir=/emplacement/de/Qt
+ --with-qtdir=/emplacement/de/TQt
Si la bibliothèque SMOKE est manquante, C<configure> générera ses sources dans
un sous-répertoire.
@@ -96,7 +96,7 @@ un sous-répertoire.
make install
-Cela installera PerlQt, Puic et les utilitaires pqtsh et pqtapi.
+Cela installera PerlTQt, Puic et les utilitaires pqtsh et pqtapi.
Le lieu d'installation privilégié de SMOKE et de PUIC est le système de
fichiers de KDE3. Si KDE3 n'est pas installé (ou que la variable KDEDIR n'est pas
@@ -122,14 +122,14 @@ Ceci installera Smoke dans ~/lib et puic dans ~/bin
=item *
-Reconfigurez le module PerlQt pour qu'il ne s'installe pas dans la hiérarchie Perl ordinaire :
+Reconfigurez le module PerlTQt pour qu'il ne s'installe pas dans la hiérarchie Perl ordinaire :
- cd PerlQt
+ cd PerlTQt
perl Makefile.PL PREFIX=~
cd ..
Attention : il ne s'agit pas du Makefile.PL situé à la racine de l'arborescence mais bien de celui
-situé dans le sous-répertoire PerlQt
+situé dans le sous-répertoire PerlTQt
=item *
@@ -137,7 +137,7 @@ Lancez la compilation et l'installation
make && make install
-Pour exécuter des programmes PerlQt, il vous faudra désormais indiquer à Perl l'emplacement de cette hiérarchie externe,
+Pour exécuter des programmes PerlTQt, il vous faudra désormais indiquer à Perl l'emplacement de cette hiérarchie externe,
à l'aide d'une ligne de la forme :
perl -Mlib="~/local/lib/perl/5.x.x" programme.pl
@@ -148,29 +148,29 @@ où 5.x.x représente la version de Perl utilisée, ligne qui peut également être p
=back
-=head1 Anatomie de PerlQt
+=head1 Anatomie de PerlTQt
-Un programme Qt typique utilisant des composants GUI est fondé sur une
+Un programme TQt typique utilisant des composants GUI est fondé sur une
boucle événementielle.
Il ne se comporte pas comme une suite séquentielle
d'instructions où vous devriez gérer vous-même chaque événement (tels
que le clic de la souris ou l'enfoncement d'une touche).
-Au lieu de cela, vous créez un objet B<Qt::Application> et les composants
+Au lieu de cela, vous créez un objet B<TQt::Application> et les composants
du GUI qu'il utilise, puis vous définissez les méthodes d'objet à appeler
lors de l'occurrence d'un événement, puis démarrez la boucle événementielle.
-C'est tout. Qt gérera les événements et les dirigera vers les
+C'est tout. TQt gérera les événements et les dirigera vers les
routines appropriées.
-Voyons un programme PerlQt minimal.
+Voyons un programme PerlTQt minimal.
=head2 Hello World
- 1: use Qt;
- 2: my $a = Qt::Application(\@ARGV);
- 3: my $hello = Qt::PushButton("Hello World!", undef);
+ 1: use TQt;
+ 2: my $a = TQt::Application(\@ARGV);
+ 3: my $hello = TQt::PushButton("Hello World!", undef);
4: $hello->resize(160, 25);
5: $a->setMainWidget($hello);
6: $hello->show;
@@ -180,15 +180,15 @@ Voyons un programme PerlQt minimal.
<br/>
<div class='image'><img src="../images/ex1.png"/></div>
-Ce programme charge d'abord le module Qt [line 1] puis crée l'objet
+Ce programme charge d'abord le module TQt [line 1] puis crée l'objet
application B<$a> en lui passant une référence au tableau C<@ARGV>
contenant les arguments de la ligne de commande [l.2]. Cet objet
application est unique pour un interpréteur Perl donné et peut être
-ensuite accédé par la fonction pure B<Qt::app()>.
+ensuite accédé par la fonction pure B<TQt::app()>.
La ligne 3, crée un PushButton orphelin (c.à.d sans parent: non
contenu dans un autre widget) dont nous passons la valeur B<undef>
-comme argument pour le parent. B<undef> est l'équivalent perlQt d'un
+comme argument pour le parent. B<undef> est l'équivalent perlTQt d'un
pointeur null en C++.
Après les instructions de "mise en page" [l.4], nous indiquons à
@@ -206,26 +206,26 @@ B<Sommaire de la syntaxe :>
=item 1
-Les classes PerlQt sont accessibles par le préfixe B<Qt::> au lieu du
-B<Q> initial des classes Qt en C++. En consultant la L<documentation
-Qt|"http://doc.trolltech.com">, vous devez donc mentalement changer le
-nom d'une clasee B<QFoo> en B<Qt::Foo>.
+Les classes PerlTQt sont accessibles par le préfixe B<TQt::> au lieu du
+B<Q> initial des classes TQt en C++. En consultant la L<documentation
+TQt|"http://doc.trolltech.com">, vous devez donc mentalement changer le
+nom d'une clasee B<TQFoo> en B<TQt::Foo>.
=item 2
De manière similaire à C++, un objet est créé par l'appel d'un
B<constructeur> de même nom que la classe dont il est une méthode.
-Vous ne devez donc pas dire C<new Qt::Foo> ou C<Qt::Foo-E<gt>new()>
+Vous ne devez donc pas dire C<new TQt::Foo> ou C<TQt::Foo-E<gt>new()>
contrairement à l'usage commun en Perl.
Dites simplement:
- my $object = Qt::<classname>(arg_1, ..., arg_n);
+ my $object = TQt::<classname>(arg_1, ..., arg_n);
Un constructeur sans argument s'énonce encore plus brièvement :
- my $object = Qt::<classname>;
+ my $object = TQt::<classname>;
=item 3
@@ -234,18 +234,18 @@ Comme il a déjà été dit, l'équivalent Perl d'un pointeur C++ est le mot-clé
Perl B<undef>.
Les pointeurs sont les arguments précédés par le caractère B<*> dans la
-documentation Qt (Par exemple: "C<QWidget* widget>").
+documentation TQt (Par exemple: "C<TQWidget* widget>").
=back
=head2 L'héritage et les objets
-Avant d'expliquer comment les routines Perl peuvent être appelées de Qt,
-parlons du mécanisme d'héritage vu de PerlQt.
+Avant d'expliquer comment les routines Perl peuvent être appelées de TQt,
+parlons du mécanisme d'héritage vu de PerlTQt.
-PerlQt est conçu pour allier la simplicité de Qt à la puissance et à la
-flexibilité de Perl. Pour ce faire, PerlQt étend le paradigme objet de
-Perl pour mimer Qt et son mécanisme de B<métaobjets>.
+PerlTQt est conçu pour allier la simplicité de TQt à la puissance et à la
+flexibilité de Perl. Pour ce faire, PerlTQt étend le paradigme objet de
+Perl pour mimer TQt et son mécanisme de B<métaobjets>.
=head3 Un Widget personnalisé
@@ -255,8 +255,8 @@ de PushButton:
1: use strict;
2:
3: package Button;
- 4: use Qt;
- 5: use Qt::isa qw(Qt::PushButton);
+ 4: use TQt;
+ 5: use TQt::isa qw(TQt::PushButton);
6:
7: sub NEW
8: {
@@ -268,29 +268,29 @@ de PushButton:
14:
15: package main;
16:
- 17: use Qt;
+ 17: use TQt;
18: use Button;
19:
- 20: my $a = Qt::Application(\@ARGV);
+ 20: my $a = TQt::Application(\@ARGV);
21: my $w = Button("Hello World!", undef);
22: $a->setMainWidget($w);
23: $w->show;
24: exit $a->exec;
Pour implanter notre propre version de PushButton, nous créons un nouveau
-package [l.3] et importons Qt [l.4].
+package [l.3] et importons TQt [l.4].
-Nous utilisons le pragma C<Qt::isa> [l.5] pour déclarer notre widget
+Nous utilisons le pragma C<TQt::isa> [l.5] pour déclarer notre widget
comme sous-classe de PushButton. Ce pragma accepte une liste de une ou
plusieurs classes dont dérive la classe à définir.
Créons maintenant un constructeur pour notre nouveau widget
en écrivant une routine appelée B<NEW> I<(notez les majuscules qui
marquent une méthode différente du constructeur "new" usuel)>.
-Le constructeur PerlQt est appelé B<implicitement> I<comme ligne 21>.
+Le constructeur PerlTQt est appelé B<implicitement> I<comme ligne 21>.
Note widget doit d'abord appeler le constructeur de sa classe de base
-(ici: Qt::PushButton) à la ligne 9, avec tous les arguments que nous
+(ici: TQt::PushButton) à la ligne 9, avec tous les arguments que nous
avons reçus.
Nous créons ainsi un objet instance de notre classe. Cette objet est
@@ -309,7 +309,7 @@ ses différents composants à l'intérieur de variables de scope lexical
par leur parent et non nécessairement quand leur conteneur disparaît
du scope.
-En d'autres termes, PerlQt utilise un système de comptage de
+En d'autres termes, PerlTQt utilise un système de comptage de
références pour gérer la destruction des objets.
Souvent cependant, vous souhaiterez accéder aux composants de votre objet depuis
@@ -320,23 +320,23 @@ l'objet lui-même. Mais cette syntaxe s'avère peu pratique à l'usage et beaucoup
trop libre - il n'y a pas de vérification à la compilation de sorte que vous pouvez
accéder à des clefs non existantes sans déclencher d'erreur.
-En lieu et place de cette syntaxe, PerlQt introduit le concept d'B<attributs>.
+En lieu et place de cette syntaxe, PerlTQt introduit le concept d'B<attributs>.
Les attributs sont de simples variables perl, écrites sans le signe dollar initial, et
pouvant contenir toute donnée qui est une propriété de votre objet.
Leur principal avantage est de fournir une syntaxe très rapide et vérifiable à la compilation.
Pour définir et pouvoir utiliser de nouveaux attributs, il suffit d'utiliser
-le pragma C<use Qt::attributes>, suivi d'une liste des noms d'attributs souhaités.
+le pragma C<use TQt::attributes>, suivi d'une liste des noms d'attributs souhaités.
Ainsi:
1: use strict;
2:
3: package Button;
- 4: use Qt;
- 5: use Qt::isa qw(Qt::PushButton);
- 6: use Qt::attributes qw(
+ 4: use TQt;
+ 5: use TQt::isa qw(TQt::PushButton);
+ 6: use TQt::attributes qw(
7: itsTime
8: pData
9: );
@@ -344,7 +344,7 @@ Ainsi:
11: sub NEW
12: {
13: shift->SUPER::NEW(@_[0..2]);
- 14: itsTime = Qt::Time;
+ 14: itsTime = TQt::Time;
15: itsTime->start;
16: pData->{'key'} = " Foo ";
17: }
@@ -362,7 +362,7 @@ Ainsi:
<div class='image'><img src="../images/ex2.png"/></div>
-L'attribut itsTime est déclaré à la ligne 7 et initialisé par un objet C<Qt::Time>
+L'attribut itsTime est déclaré à la ligne 7 et initialisé par un objet C<TQt::Time>
à la ligne 14.
Puisque nous réimplémentons la fonction virtuelle "resizeEvent"
@@ -377,12 +377,12 @@ B<Récapitulation>
=item *
-Pour hériter d'une classe Qt, un package doit contenir un
-pragma C<use Qt::isa>.
+Pour hériter d'une classe TQt, un package doit contenir un
+pragma C<use TQt::isa>.
Ainsi:
- use Qt::isa "Qt::widget";
+ use TQt::isa "TQt::widget";
=item *
@@ -443,7 +443,7 @@ est possible, mais qu'elle passe l'objet comme premier argument.
Lorsque vous devez stocker dans votre package un objet contenu, vous
devez le définir comme B<attribut> :
- use Qt::attributes qw(
+ use TQt::attributes qw(
firstAttribute
...
lastAttribute);
@@ -466,22 +466,22 @@ Pour réimplémenter une B<fonction virtuelle>, créez simplement une
B<sub> de même nom que cette fonction.
Les fonctions virtuelles existantes sont marquées comme telles dans
-la documentation de Qt (ce sont les méthodes précédées du mot clef "virtual").
+la documentation de TQt (ce sont les méthodes précédées du mot clef "virtual").
-Vous pouvez visualiser les noms de méthodes virtuelles que Qt tentera d'appeler
-dans votre classe en plaçant C<use Qt::debug qw|virtual|> en tête de
+Vous pouvez visualiser les noms de méthodes virtuelles que TQt tentera d'appeler
+dans votre classe en plaçant C<use TQt::debug qw|virtual|> en tête de
votre programme.
=back
=head2 Signaux et Slots
-Voyons maintenant comment les objets Qt peuvent communiquer entre eux
+Voyons maintenant comment les objets TQt peuvent communiquer entre eux
de manière à ce qu'un événement concernant un objet puisse déclencher
l'exécution d'une routine en un quelconque endroit de votre programme.
Dans d'autres toolkits, les callbacks (appels en retour) sont généralement
-utilisés à cet effet. Mais Qt dispose d'un mécanisme beaucoup plus puissant
+utilisés à cet effet. Mais TQt dispose d'un mécanisme beaucoup plus puissant
et plus flexible : les B<Signaux et Slots>.
On peut se le représenter comme le cablage entre les composants d'une
@@ -492,7 +492,7 @@ pour commencer à enregistrer, et il ne cherchera pas à savoir s'il est
l'unique destinataire de ce signal ou si ce dernier est aussi reçu par un graveur de CD
ou écouté au casque.
-Un composant Qt se comporte comme notre amplificateur ou notre
+Un composant TQt se comporte comme notre amplificateur ou notre
magnétophone. Il a des sorties ou B<Signaux> et des entrées ou
B<Slots>. Chaque sortie (signal) est connectable à un nombre illimité
d'entrées (slots). La sortie d'un composant peut être potentiellement
@@ -501,18 +501,18 @@ branchée à toute entrée d'un composant (y compris lui-même),
La syntaxe de ce système de connexion est soit:
-Qt::Object::connect( envoyeur, SIGNAL 'mon_signal(types_d_arguments)',
-recepteur, SLOT 'monslot(types_d_arguments)');
+TQt::Object::connect( envoyeur, TQT_SIGNAL 'mon_signal(types_d_arguments)',
+recepteur, TQT_SLOT 'monslot(types_d_arguments)');
soit:
-unObjet->connect( envoyeur, SIGNAL 'mon_signal(types_d_arguments)',
+unObjet->connect( envoyeur, TQT_SIGNAL 'mon_signal(types_d_arguments)',
SLOT 'monslot(types_d_arguments)');
Dans le second cas, le récepteur est omis car c'est l'objet lui-même,
Ce mécanisme est extensible à volonté par la déclaration de nouveaux Signaux et
-Slots par l'usage des pragma C<use Qt::signals> et C<use Qt::slots>
+Slots par l'usage des pragma C<use TQt::signals> et C<use TQt::slots>
(voir aussi la deuxième syntaxe décrite plus bas).
Chaque slot déclaré appellera la routine correspondante de votre
@@ -523,22 +523,22 @@ B<Réécrivons encore notre exemple pour illustrer nos propos :>
1: use strict;
2:
3: package Button;
- 4: use Qt;
- 5: use Qt::isa qw(Qt::PushButton);
- 6: use Qt::attributes qw(itsTime);
- 7: use Qt::slots
+ 4: use TQt;
+ 5: use TQt::isa qw(TQt::PushButton);
+ 6: use TQt::attributes qw(itsTime);
+ 7: use TQt::slots
8: aEteClicke => [],
9: changement => ['int', 'int'];
- 10: use Qt::signals
+ 10: use TQt::signals
11: changeLe => ['int', 'int'];
12:
13: sub NEW
14: {
15: shift->SUPER::NEW(@_[0..2]);
- 16: itsTime = Qt::Time;
+ 16: itsTime = TQt::Time;
17: itsTime->start;
- 18: this->connect(this, SIGNAL 'clicked()', SLOT 'aEteClicke()');
- 19: this->connect(this, SIGNAL 'changeLe(int,int)', SLOT 'changement(int,int)');
+ 18: this->connect(this, TQT_SIGNAL 'clicked()', TQT_SLOT 'aEteClicke()');
+ 19: this->connect(this, TQT_SIGNAL 'changeLe(int,int)', TQT_SLOT 'changement(int,int)');
20: }
21:
22: sub aEteClicke
@@ -560,7 +560,7 @@ B<Réécrivons encore notre exemple pour illustrer nos propos :>
Nous définissons dans ce package deux nouveaux slots et un nouveau signal.
-La documentation Qt nous dit que tout PushButton clické émet un signal
+La documentation TQt nous dit que tout PushButton clické émet un signal
C<clicked()> ; nous le connectons donc à notre nouveau slot [ligne 18].
Nous connectons aussi notre signal C<ChangeLe> à notre slot
@@ -571,9 +571,9 @@ C<clicked()> est émit et déclenche le slot C<aEteClicke()>.
C<aEteClicke()> émet à son tour le signal C<changeLe(int,int)>[l.27],
appelant de ce fait le slot C<changement(int,int)>, avec deux arguments.
-Enfin, il existe une syntaxe alternative introduite dans PerlQt-3.008 :
+Enfin, il existe une syntaxe alternative introduite dans PerlTQt-3.008 :
- sub un_slot : SLOT(int, QString)
+ sub un_slot : TQT_SLOT(int, TQString)
{
$int = shift;
$string = shift;
@@ -582,17 +582,17 @@ Enfin, il existe une syntaxe alternative introduite dans PerlQt-3.008 :
et
- sub un_signal : SIGNAL(QString);
+ sub un_signal : TQT_SIGNAL(TQString);
Cette syntaxe est parfaitement compatible avec la déclaration par le biais de
-C<use Qt::signals> et C<use Qt::slots>.
+C<use TQt::signals> et C<use TQt::slots>.
Il peut d'ailleurs d'avérer très profitable pour la clarté du programme de déclarer tout d'abord
-les signaux/slots au moyen de C<use Qt::slots/signals>, puis de rappeler cette déclaration au niveau de
+les signaux/slots au moyen de C<use TQt::slots/signals>, puis de rappeler cette déclaration au niveau de
l'implémentation à l'aide de la seconde syntaxe.
Les déclarations seront alors vérifiées à la compilation, et le moindre conflit
générera un avertissement.
-=head1 Développement rapide (RAD) avec Qt Designer et Puic
+=head1 Développement rapide (RAD) avec TQt Designer et Puic
=head2 Introduction
@@ -601,30 +601,30 @@ générera un avertissement.
=item * N.B:
-Depuis la version 3.008, il existe un plugin spécifique à PerlQt pour Qt Designer.
+Depuis la version 3.008, il existe un plugin spécifique à PerlTQt pour TQt Designer.
Ce plugin (disponible sur les pages internet du projet) apporte le confort d'une intégration poussée,
la coloration syntaxique Perl, la complétion automatique, et permet de lancer et déboguer un projet
sans quitter l'interface du Designer.
Ce qui suit reste néanmoins parfaitement valable pour ce qui est de l'utilisation de puic en ligne de commande,
-et pour l'utilisation de Qt Designer I<sans> le plugin spécifique.
+et pour l'utilisation de TQt Designer I<sans> le plugin spécifique.
=back
-Aussi puissant et intuitif que soit Qt, écrire une GUI complète reste un exercice
+Aussi puissant et intuitif que soit TQt, écrire une GUI complète reste un exercice
fastidieux.
-Heureusement, Qt est fourni avec un constructeur de GUI sophistiqué
-appelé Qt Designer qui est quasiment un environnement de développement
+Heureusement, TQt est fourni avec un constructeur de GUI sophistiqué
+appelé TQt Designer qui est quasiment un environnement de développement
intégré. Il comporte la gestion de Projets, la création d'un GUI par
des actions de "drag and drop", un butineur d'objet complet,
l'interconnexion graphique de signaux et de slots, et plus encore.
-L'information générée par Qt Designer's est en format XML et peut donc
+L'information générée par TQt Designer's est en format XML et peut donc
être parsée par différentes commandes comme dont B<puic> (le
-compilateur d'interface utilisateur PerlQt).
+compilateur d'interface utilisateur PerlTQt).
Supposons que vous avez déja construit un fichier d'interface avec
-Qt Designer, la transcription en un programme PerlQt se fait par
+TQt Designer, la transcription en un programme PerlTQt se fait par
la simple exécution de la commande :
puic -x -o program.pl program.ui
@@ -648,7 +648,7 @@ Il y a deux manières d'inclure des B<images ou icônes>:
=item * Inclusion Inline
A cette fin, nous devons sélectionner "Edit->Form
-Settings->Pixmaps->Save inline" dans Qt Designer et executer ensuite:
+Settings->Pixmaps->Save inline" dans TQt Designer et executer ensuite:
puic -x -o F<program.pl> F<program.ui>
@@ -662,7 +662,7 @@ Cette stratégie est plus complexe, mais plus propre et plus puissante.
Ajoutez l'instruction C<use Collection.pm> dans le package principal
de votre programme.
-Si vous avez créé un fichier projet dans Qt Designer et ajouté toutes
+Si vous avez créé un fichier projet dans TQt Designer et ajouté toutes
les images dans un groupe (par "Project->Image Collection"), vous
disposez ensuite de ces images dans le répertoire où votre fichier
projet (*.pro) est stocké, dans le sous-répertoire B<image>. Vous pouvez
@@ -690,7 +690,7 @@ Voici une meilleure méthode :
=item * Écrire l'implémentation de slots dans le Designer
-Dans Qt Designer, selectionnez l'onglet I<Source> dans l'explorateur
+Dans TQt Designer, selectionnez l'onglet I<Source> dans l'explorateur
d'objets (B<Object Explorer>). Vous pouvez ainsi voir représentées
sous forme d'arbre les classes que vous avez générées. Maintenant, si
vous cliquez deux fois sur l'entrée I<Slots/public>,
@@ -768,7 +768,7 @@ ou
=head1 Autres outils de développement
-PerlQt comprend également deux programmes pouvant vous aider à maîtriser l'API de Qt :
+PerlTQt comprend également deux programmes pouvant vous aider à maîtriser l'API de TQt :
=head2 pqtapi
@@ -779,14 +779,14 @@ pqtapi est un outil d'introspection en ligne de commande.
options:
-r <re> : chercher les méthodes correspondant à l'expression régulière <re>
-i : avec -r, effectue une recherche insensible à la casse
- -v : afficher les versions de PerlQt et de Qt
+ -v : afficher les versions de PerlTQt et de TQt
-h : afficher ce message d'aide
ex:
$>pqtapi -ir 'setpoint.* int'
- void QCanvasLine::setPoints(int, int, int, int)
- void QPointArray::setPoint(uint, int, int)
+ void TQCanvasLine::setPoints(int, int, int, int)
+ void TQPointArray::setPoint(uint, int, int)
=head2 pqtsh
@@ -799,19 +799,19 @@ Un exemple dynamique est accessible dans l'entrée de menu C<Help-E<gt>Example>.
=head1 Limitations
-Les classes à modèle (templates) ne sont pas encore accessibles par PerlQt.
+Les classes à modèle (templates) ne sont pas encore accessibles par PerlTQt.
En revanche, les classes dérivées de classes à modèle sont disponibles.
Vous pouvez reconnaître ce type de classe en ce que leurs arguments comprennent un type générique placé entre
les signes "<" et ">".
ex:
- QDictIterator ( const QDict<type> & dict )
+ TQDictIterator ( const TQDict<type> & dict )
=head1 Crédits
-PerlQt-3 est (c) 2002 Ashley Winters (et (c) 2003 Germain Garand)
+PerlTQt-3 est (c) 2002 Ashley Winters (et (c) 2003 Germain Garand)
Kalyptus et l'engin de génération Smoke sont (c) David Faure and Richard Dale
@@ -822,9 +822,9 @@ Ledit logiciel est délivré sous la GNU Public Licence v.2 or later.
=head1 Appendice: Les conventions de C++ et leur traduction en Perl
-Lorsque vous voulez utiliser depuis PerlQt une classe ou méthode décrite
-dans la L<documentation|"http://doc.trolltech.com"> Qt (voyez aussi le programme
-$QTDIR/bin/assistant livré avec Qt), vous devez suivre des règles de translation simples.
+Lorsque vous voulez utiliser depuis PerlTQt une classe ou méthode décrite
+dans la L<documentation|"http://doc.trolltech.com"> TQt (voyez aussi le programme
+$TQTDIR/bin/assistant livré avec TQt), vous devez suivre des règles de translation simples.
=over 4
@@ -834,9 +834,9 @@ $QTDIR/bin/assistant livré avec Qt), vous devez suivre des règles de translation
=item *
-Les noms de classes utilisent le préfixe B<Qt::> au lieu de B<Q> pour
-être conforme à l'usage Perl. Ainsi: QComboBox est nommé Qt::ComboBox
-dans PerlQt.
+Les noms de classes utilisent le préfixe B<TQt::> au lieu de B<Q> pour
+être conforme à l'usage Perl. Ainsi: TQComboBox est nommé TQt::ComboBox
+dans PerlTQt.
=back
@@ -847,10 +847,10 @@ dans PerlQt.
=item *
Les fonctions décrites comme B<static> sont accédées directement et non
-à travers un objet. Ainsi la fonction statique Foo de la classe B<QBar>
-peut être accédée de PerlQt par
+à travers un objet. Ainsi la fonction statique Foo de la classe B<TQBar>
+peut être accédée de PerlTQt par
- Qt::Bar::Foo( arg-1,...,arg-n);
+ TQt::Bar::Foo( arg-1,...,arg-n);
=item *
@@ -862,7 +862,7 @@ Par exemple:
$widget->show;
Il n'y a pas de différence fondamentale entre les méthodes et les
-signaux, néanmoins PerlQt fournit le mot-clé B<emit> comme une
+signaux, néanmoins PerlTQt fournit le mot-clé B<emit> comme une
mnémonique pratique pour rendre clair que vous émettez un signal :
emit $button->clicked;
@@ -877,17 +877,17 @@ mnémonique pratique pour rendre clair que vous émettez un signal :
Lorsqu'un argument n'est pas précédé par un des caractères B<&> or
B<*>, il est passé par valeur. Pour tous les types basiques tels que
-int, char, float and double, PerlQt convertira automatiquement les
+int, char, float and double, PerlTQt convertira automatiquement les
valeurs litérales et scalaires dans le type correspondants C++.
Ainsi pour le prototype d'un constructeur écrit dans la documentation
comme ceci:
- QSize ( int w, int h )
+ TQSize ( int w, int h )
Vous écrirez :
- Qt::Size(8, 12);
+ TQt::Size(8, 12);
=item * Par référence
@@ -895,12 +895,12 @@ Lorsqu'un argument est précédé par le caractère B<&>, Il est une
référence à un objet ou à un type. Vous pouvez alors fournir un nom de
variable ou un objet temporaire :
- $keyseq = Qt::keySequence( &Qt::CTRL + &Qt::F3 );
+ $keyseq = TQt::keySequence( &TQt::CTRL + &TQt::F3 );
$widget->setAccel( $keyseq );
ou
- $widget->setAccel(Qt::keySequence( &Qt::CTRL + &Qt::F3 );
+ $widget->setAccel(TQt::keySequence( &TQt::CTRL + &TQt::F3 );
Si l'argument n'est I<pas> qualifié par B<const> (constante), l'argument
est un objet qui peut être altéré par la méthode, vous devez
@@ -909,7 +909,7 @@ donc passer une variable.
=item * Par pointeur
Lorsqu'un argument est précédé par le caractère B<*>,
-un pointeur vers un objet ou un type est attendu. En PerlQt, vous
+un pointeur vers un objet ou un type est attendu. En PerlTQt, vous
pouvez fournir un nom de variable ou le mot clé B<undef> à la place
du pointer Null.
@@ -932,7 +932,7 @@ C<Apple>, C<Orange> et
C<Lemon> ses valeurs possible , qui sont des aliases pour des
nombres (ici 0, 1 et 2)
-L'accès aux valeurs d'énumération en Perl Qt est un appel
+L'accès aux valeurs d'énumération en Perl TQt est un appel
de fonction statique.
Donc, si vous voulez éviter des prblèmes de lisibilité, nous vous
@@ -942,29 +942,29 @@ pour marquer l'utilisation d'un alias d'énumération: C<&fonction>.
Revenons à notre exemple C<Strange>.
-Si nous rencontrons sa définition dans la classe C<QFruits>, vous
-écrirez en PerlQt :
+Si nous rencontrons sa définition dans la classe C<TQFruits>, vous
+écrirez en PerlTQt :
- $pomme_plus_orange = &Qt::Fruit::Pomme + &Qt::Fruit::Orange;
+ $pomme_plus_orange = &TQt::Fruit::Pomme + &TQt::Fruit::Orange;
=item Opérateurs
-Dans PerlQt, la B<surcharge d'opérateurs> fonctionne de manière transparente.
-Si un opérateur est surchargé dans une classe Qt (ce qui signifie que son utilisation
+Dans PerlTQt, la B<surcharge d'opérateurs> fonctionne de manière transparente.
+Si un opérateur est surchargé dans une classe TQt (ce qui signifie que son utilisation
déclenchera un appel de méthode, au lieu d'utiliser l'opérateur générique)
-il sera également surchargé dans PerlQt.
+il sera également surchargé dans PerlTQt.
ex-1: surcharge de '+='
- $p1 = Qt::Point(10, 10)
- $p2 = Qt::Point(30,40)
+ $p1 = TQt::Point(10, 10)
+ $p2 = TQt::Point(30,40)
$p2 += $p1; # $p2 devient (40,50)
ex-2: surcharge de '<<'
- $f = Qt::File("example");
+ $f = TQt::File("example");
$f->open( IO_WriteOnly ); # voir l'entrée 'Constantes' plus bas
- $s = Qt::TextStream( $f );
+ $s = TQt::TextStream( $f );
$s << "Que faire avec " << 12 << " pommes ?";
@@ -974,62 +974,62 @@ Perl est très différent de C++ en matière de copie d'objets.
=item Constantes
-Qt n'utilise pas beaucoup de constantes, mais on en trouve cependant dans le module d'Entrées/Sorties,
+TQt n'utilise pas beaucoup de constantes, mais on en trouve cependant dans le module d'Entrées/Sorties,
où elles font office de drapeaux pour les modes d'ouverture de fichiers.
Pour éviter de polluer inutilement l'espace de nom, nous avons regroupé les constantes dans le module
-B<Qt::constants>, d'où elles seront chargées à la demande.
+B<TQt::constants>, d'où elles seront chargées à la demande.
Ainsi, pour importer l'ensemble des constantes d'E/S, on écrira :
- use Qt::constants;
+ use TQt::constants;
Et pour importer quelques symboles seulement :
- use Qt::constants qw( IO_ReadOnly IO_WriteOnly );
+ use TQt::constants qw( IO_ReadOnly IO_WriteOnly );
=item Fonctions globales
-Qt dispose de fonctions utilitaires, telles bitBlt, qCompress, etc.
+TQt dispose de fonctions utilitaires, telles bitBlt, qCompress, etc.
Ces fonctions ont été rassemblées dans un espace de nom commun:
-C<Qt::GlobalSpace>.
+C<TQt::GlobalSpace>.
Vous pourrez donc y accéder soit par un appel pleinement qualifié :
- Qt::GlobalSpace::qUncompress( $buffer )
+ TQt::GlobalSpace::qUncompress( $buffer )
Soit en important préalablement ces fonctions dans l'espace de nom courant :
- use Qt::GlobalSpace;
+ use TQt::GlobalSpace;
qUncompress( $buffer )
Bien entendu, vous pouvez aussi n'importer que les fonctions souhaitées :
- use Qt::GlobalSpace qw( qUncompress bitBlt )
+ use TQt::GlobalSpace qw( qUncompress bitBlt )
B<N.B:> GlobalSpace renferme également des opérateurs de portée globale, tels
-celui permettant d'aditionner deux Qt::Point(). Ces opérateurs seront appelés
+celui permettant d'aditionner deux TQt::Point(). Ces opérateurs seront appelés
automatiquement.
ex:
- $p1 = Qt::Point(10, 10) + Qt::Point(20, 20)
+ $p1 = TQt::Point(10, 10) + TQt::Point(20, 20)
=back
=head1 Annexe 2 : Internationalisation
-PerlQt résout les problèmes d'internationalisation en convertissant systématiquement les B<QString>
-de Qt en B<utf8> côté Perl.
+PerlTQt résout les problèmes d'internationalisation en convertissant systématiquement les B<TQString>
+de TQt en B<utf8> côté Perl.
-Les conversions en sens inverse, depuis Perl vers Qt sont traitées différemment suivant le contexte :
+Les conversions en sens inverse, depuis Perl vers TQt sont traitées différemment suivant le contexte :
=over 4
=item * Si la chaîne de caractère est déjà marquée comme étant utf8
-alors elle sera convertie en QString directement.
+alors elle sera convertie en TQString directement.
C'est la manière privilégiée d'opérer, et la plus simple :
Il vous suffit d'insérer un pragma B<use utf8> en tête de vos programmes, puis d'utiliser un éditeur de
@@ -1038,23 +1038,23 @@ Les chaînes seront marquées par Perl automatiquement.
=item * Si la chaîne n'est pas marquée comme utf8, et le pragma 'use locale' n'est pas actif
-alors la conversion en QString se fera depuis l'B<ISO-Latin-1>.
+alors la conversion en TQString se fera depuis l'B<ISO-Latin-1>.
=item * Si la chaîne n'est pas marquée comme utf8, et le pragma 'use locale' est actif
-alors la conversion en QString se fera depuis votre B<locale>.
+alors la conversion en TQString se fera depuis votre B<locale>.
=back
Lorsque des chaînes contiennent de l'utf8, Perl adapte automatiquement ses opérateurs pour que
leur gestion soit entièrement transparente (comprendre opaque, comme toujours...).
Cependant, vous pourrez avoir besoin à l'occasion de les transcrire en d'autres jeux d'encodage.
-Ceci peut se faire soit avec Qt :
+Ceci peut se faire soit avec TQt :
- $tr1=Qt::TextCodec::codecForLocale(); # ceci utilisera la locale en vigueur
- $tr2=Qt::TextCodec::codecForName("KOI8-R"); # ceci force l'emploi d'une locale spécifique (Russe)
+ $tr1=TQt::TextCodec::codecForLocale(); # ceci utilisera la locale en vigueur
+ $tr2=TQt::TextCodec::codecForName("KOI8-R"); # ceci force l'emploi d'une locale spécifique (Russe)
- print $tr1->fromUnicode(Qt::DateTime::currentDateTime()->toString)."\n\n";
+ print $tr1->fromUnicode(TQt::DateTime::currentDateTime()->toString)."\n\n";
print $tr2->fromUnicode($une_chaine_utf8);
Soit avec les outils de Perl (pour perl >= 5.8.0).
@@ -1066,7 +1066,7 @@ Les programmeurs souhaitant désactiver temporairement l'encodage utf8
(pour la gestion de programmes externes ou de modules anciens ne supportant pas cet encodage)
pourront utiliser le pragma B<use bytes> (et sa réciproque : B<no bytes>).
-Dans la portée de ce pragma, les conversions depuis QString vers les chaînes Perl se feront en ISO-Latin1
+Dans la portée de ce pragma, les conversions depuis TQString vers les chaînes Perl se feront en ISO-Latin1
(par défaut) ou suivant la locale en vigueur (si B<use locale> est actif).
Notez bien qu'il est préférable de I<ne pas utiliser ce pragma à la légère>, en ce qu'il ruine totalement les
@@ -1075,14 +1075,14 @@ Il est très préférable de corriger les programmes fautifs.
=head1 Annexe 3 : Canaux de déboguage
-Le module B<Qt::debug> offre divers canaux de déboguage permettant de filtrer
+Le module B<TQt::debug> offre divers canaux de déboguage permettant de filtrer
le flux conséquent d'informations disponibles pour l'adapter à vos besoins.
- use Qt::debug;
+ use TQt::debug;
- use Qt::debug qw|calls autoload verbose|;
+ use TQt::debug qw|calls autoload verbose|;
-Avec le pragma C<use Qt::debug>, seuls les canaux B<verbose> et B<ambiguous> sont activés.
+Avec le pragma C<use TQt::debug>, seuls les canaux B<verbose> et B<ambiguous> sont activés.
Si vous le faites suivre d'une liste précise de canaux, seuls ceux-ci seront affichés.
B<Liste et descriptif des canaux :>
@@ -1102,32 +1102,32 @@ Utilisé avec B<ambiguous>, vous donnera les correspondances les plus proches lor
ex:
- use Qt;
- use Qt::debug;
- $a= Qt::Application(\@ARGV);
+ use TQt;
+ use TQt::debug;
+ $a= TQt::Application(\@ARGV);
$a->libraryPath("chose");
--- No method to call for :
- QApplication::libraryPath('chose')
+ TQApplication::libraryPath('chose')
Closer candidates are :
- static void QApplication::addLibraryPath(const QString&)
- static QStringList QApplication::libraryPaths()
- static void QApplication::removeLibraryPath(const QString&)
- static void QApplication::setLibraryPaths(const QStringList&)
+ static void TQApplication::addLibraryPath(const TQString&)
+ static TQStringList TQApplication::libraryPaths()
+ static void TQApplication::removeLibraryPath(const TQString&)
+ static void TQApplication::setLibraryPaths(const TQStringList&)
=item * calls
-Pour chaque appel de méthode, vous dira quelle méthode Qt est finalement appelée,
+Pour chaque appel de méthode, vous dira quelle méthode TQt est finalement appelée,
en précisant les arguments si B<verbose> est actif.
=item * autoload
-Détaille le passage dans le code intermédiaire faisant la jonction entre Perl et Qt.
+Détaille le passage dans le code intermédiaire faisant la jonction entre Perl et TQt.
=item * gc
Donne des informations sur la collection des déchets, c'est à dire sur la destruction des objets,
-qu'ils soient détruits depuis Perl ou Qt.
+qu'ils soient détruits depuis Perl ou TQt.
=item * virtual
@@ -1144,46 +1144,46 @@ Activer tous les canaux.
Un marshalleur est un convertisseur permettant de transcrire un type de données en un autre.
-Dans PerlQt, la plupart des objets Qt gardent leurs propriétés d'objet, ce qui permet d'invoquer leurs méthodes
+Dans PerlTQt, la plupart des objets TQt gardent leurs propriétés d'objet, ce qui permet d'invoquer leurs méthodes
et de changer leurs propriétés comme il se doit.
Cependant, il arrive que l'objet d'origine corresponde à ce point à un type natif de Perl qu'il serait malséant
d'utiliser l'interface C++ et beaucoup plus naturel de lui substituer son équivalent.
Ici interviennent les marshalleurs.
-Plutôt que de retourner un objet Qt::StringList, qui serait délicat à manipuler,
-PerlQt le transformera en référence de liste Perl.
+Plutôt que de retourner un objet TQt::StringList, qui serait délicat à manipuler,
+PerlTQt le transformera en référence de liste Perl.
Dès lors, tous les opérateurs de manipulation de liste pourront lui être appliqué :
on gagne en densité, en cohérence et en simplicité.
Cette transformation s'appliquera aussi en sens inverse, et n'importe quelle liste de chaînes Perl
-pourra être donnée en argument à une méthode attendant une Qt::StringList.
+pourra être donnée en argument à une méthode attendant une TQt::StringList.
- Liste des marshalleurs (PerlQt-3.008)
+ Liste des marshalleurs (PerlTQt-3.008)
-----------------------------------------------------------------
float, double <=> réel Perl (NV)
char, uchar, int, uint, enum
long, ulong, short, ushort <=> entier Perl (IV)
- QString, -&, -* => chaîne Perl (utf8)
- QString, -&, -* <= chaîne Perl (utf8 ou iso-latin1 ou locale)
- QCString, -&, -* <=> chaîne Perl (utf8 ou octets, suivant contenu ou pragma "bytes")
- QStringList, -&, -* => référence à une liste de chaînes Perl (utf8)
- QByteArray, -&, -* <=> chaîne Perl (octets)
+ TQString, -&, -* => chaîne Perl (utf8)
+ TQString, -&, -* <= chaîne Perl (utf8 ou iso-latin1 ou locale)
+ TQCString, -&, -* <=> chaîne Perl (utf8 ou octets, suivant contenu ou pragma "bytes")
+ TQStringList, -&, -* => référence à une liste de chaînes Perl (utf8)
+ TQByteArray, -&, -* <=> chaîne Perl (octets)
int&, -* <=> entier Perl (IV)
bool&, -* <=> booléen Perl
char* <=> chaîne Perl (octets)
char** <= référence à une liste de chaînes Perl (octets)
uchar* <= chaîne Perl(octets)
- QRgb* <= référence à une liste d'entiers Perl (IV)
- QCOORD* <= référence à une liste d'entiers Perl (IV)
+ TQRgb* <= référence à une liste d'entiers Perl (IV)
+ TQCOORD* <= référence à une liste d'entiers Perl (IV)
void* <=> référence à un entier Perl (IV)
- QValueList<int>, - *, - & <=> référence à une liste d'entiers Perl (IV)
- QCanvasItemList, - *, - & => réference à une liste de Qt::CanvasItem
- QWidgetList, - *, - & <=> réference à une liste de Qt::Widget
- QObjectList, - *, - & <=> réference à une liste de Qt::Object
- QFileInfoList, - *, - & <=> réference à une liste de Qt::FileInfo
- QPtrList<QTab>, - *, - & <=> réference à une liste de Qt::Tab
- QPtrList<QToolBar>, - *, - & <=> réference à une liste de Qt::ToolBar
- QPtrList<QNetworkOperation>, - *, - & <=> réference à une liste de Qt::NetworkOperation
- QPtrList<QDockWindow>, - *, - & <=> réference à une liste de Qt::DockWindow
- (QUObject*)
+ TQValueList<int>, - *, - & <=> référence à une liste d'entiers Perl (IV)
+ TQCanvasItemList, - *, - & => réference à une liste de TQt::CanvasItem
+ TQWidgetList, - *, - & <=> réference à une liste de TQt::Widget
+ TQObjectList, - *, - & <=> réference à une liste de TQt::Object
+ TQFileInfoList, - *, - & <=> réference à une liste de TQt::FileInfo
+ TQPtrList<TQTab>, - *, - & <=> réference à une liste de TQt::Tab
+ TQPtrList<TQToolBar>, - *, - & <=> réference à une liste de TQt::ToolBar
+ TQPtrList<TQNetworkOperation>, - *, - & <=> réference à une liste de TQt::NetworkOperation
+ TQPtrList<TQDockWindow>, - *, - & <=> réference à une liste de TQt::DockWindow
+ (TQUObject*)